Livre

Rébus et entrelacs

Rébus et entrelacs

Par Anne-Marie Carrère

Thème : Poésie

Date de publication : 16/08/2021

Le mot Rébus, titre de ce recueil, vient de France. À une certaine époque, des clercs de notaires picards ont donné des spectacles sarcastiques en posant des devinettes sous forme d’images. Ils les appelaient De rebus quae geruntur, ce qui signifie en latin « À propos de ce qui se passe ».

Les figures qui traversent ces pages s’enlacent et dessinent un rébus poétique et méditatif, révélateur de l’air du temps.


  • Roman (134x204)
  • 100 pages
  • ISBN : 9782414545766
14,50 €
6,99 €
Papier
Numérique

Anne-Marie Carrère

Biographie

Anne-Marie Carrère

Anne-Marie Carrère, native du Gers, vit en Gironde où elle anime, depuis sa disponibilité créative de professeur de lettres, des ateliers d’écriture pour l’association Talents.

Après deux recueils de poésie, Dans le terreau de ma langue et La Lumière dans le tamis, la constellation de voix de Jours glissants, le chemin lumineux de Fil rouge aux grains de grenade et l’évocation personnelle de LÉté 2020, voici un livre d’heures poétiques et méditatives, Rébus et entrelacs.

Avec Cesare Pavese, elle aime penser qu’« il est beau d’écrire, car cela unit les deux joies : parler tout seul et parler à une foule ! »

Lire aussi
Aucun article n'est associé à cet ouvrage.
 

Avis des lecteurs

Lecteur - 21/11/2021

La commande de ‘‘Rébus et entrelacs’’ fut bien longue à arriver chez mon libraire préféré de Bègles. Cela va plus vite à l’habitude m’a-t-elle dit ! Exact. Mais depuis hier, je suis comblé. Je plonge, je barbotte, je nage, je m’immerge, je m’enfonce et je lis. Parfois à haute voix. J’aime de plus en plus la haute voix car cela m’aide fréquemment à comprendre et puis c’est souvent avec cette pratique que je perçois le rythme des mots et – même, parfois – des idées. Donc, je suis dedans. Je reviens en arrière, je relis, je plonge dans une association et j’en sors en reprenant la lecture… ai-je perdu quelque chose ou bien gagné une autre pensée, une autre idée ! Voleur ! Et je me dis : Voilà une femme qui écrit autant avec sa tête que son cœur et même, elle sait plonger en elle avec une délicatesse qui me fascine. Envieux ! Je regarde et me souviens que certains récits me sont connus… alors je vérifie – un peu au hasard – s’ils ont été remaniés… Vicieux me dis-je ! Mais non, le travail c’est le travail, et s’il doit être continué, il faut le continuer. Alors ? Non, pas que je me rende compte. J’aime beaucoup. Et il y a dans cette pratique de construire un récit à partit d’un mot/idée/concept/image quelque chose de fascinant. C’est d’expérience – pour moi, sans doute – une manière de vraiment lâcher prise et seul mon Inconscient sait à quel point mon pauvre Moi en a besoin. (Tu remarqueras que je mélange sans vergogne plusieurs notions) Vraiment Anne-Marie, un bien joli livre, délicat, émouvant, parfois un peu savant mais c’est un compliment, proche de toi autant que je puisse en juger. Voilà. le 10 septembre 2021. Edouard Kosmala

Lectrice - 21/11/2021

Si je craignais de ne plus retrouver dans Rébus et entrelacs, les belles émotions toujours renouvelées de ton “Fil rouge aux grains de grenade”, je me gourais. Après avoir découvert, ces trois derniers soirs, avant de m’endormir, ton dernier livre cadeau, je me promettais de le relire en entier ce dimanche après-midi. Anny, chaque page de Rébus et entrelacs, chaque page, chaque phrase, est pépite. Et; en plus, je t’imagine, je te vois même - chaque petit matin que Dieu nous offre- dans ton bureau, heureuse de retrouver tes amis de longue date et de leur souffler plein de tes bonnes énergies pour entreprendre une journée en poésie. Puissent-ils ces amis te souffler à toi aussi plein d’énergies créatrices et libératrices de mauvais tours. Je t’imagine aussi siroter ton café, regarder par la fenêtre le temps qu’il fait, une nouveauté dans le paysage? …. écouter une musique qui te comble, une chanson qui parle de beauté , d’amour, de vérité - chanson que nous partageras. Et j’ai chaud au coeur. Je ne sais lequel de tes deux derniers livres je préfère. Ce que je sais, c’est que les deux se retrouveront sur ma table de nuit. Quelques mots, quelques phrases à glaner chaque soir. Te dire que je ne me souviens pas quand des larmes ont envahi mes yeux à la lecture de textes poétiques. Et bien, ici, je les retenues souvent ces larmes; je les ai laissées s’échapper cette a.m. dans Aller Retour; p.72, - je m’imaginais assise en face de toi dans le TGV et je pleurais - oh, oui, j'étais triste certes mais, comment dire?, je l’étais sereinement - joyeusement presque. Peut-on pleurer de tristesse et de joie en même temps? Oui, tu réussis ce prodige. Je vais relire et relire encore et encore Rebus et entrelacs. C’est tellement beau et vrai ce que tu nous partages. ! Merci Anny De tes nouvelles? Ta santé? J’imagine que tu attends le printemps pour déménager.? Vers Sète toujours? Avais-tu tout de même bien reçu mon message précédent où je t’écrivais que ton cadeau venait d’arriver. C’était mercredi. Sans accusé de réception, j’en viens à douter. Et moi, je ne vais pas trop bien. Enfin, c’est pas grave; je dois encaisser déception sur déception - je te raconterai - par téléphone - quand je le sentirai. Merci encore chère Anny d’être là - STP, prends bien soin de toi. N’as-tu pas affirmé, page 72 : “Le temps présent est malade. Le soigner, c’est prendre soin de soi, de l’autre” Comme c’est exact. Je t’embrasse, avec affection Rose-Marie