Hymne à ma mère

Je me rappelle de cette journée si bleuâtre et éclairée, de tes murmures si doux et si bluets. Je ressentais tout ce qui pouvait entraver cette atmosphère austère et ostentatoire. Les rayons de soleil qui caressaient ton visage si beau et rayonnant, un peu loin, l’écho d’un bruit abasourdissant retentit, je me suis précipitée pour me cacher au fond de ce manoir. Néanmoins, la lumière envahissait mes yeux et les palpitations de mon cœur se multipliaient… Est-ce un cri d’alerte, est-ce un hurlement de détresse ? Puis, le silence reprend sa monotonie et affirme son fardeau…