Livre

Voyage solitaire

Voyage solitaire

La muse jamais ne dort. L'amour jamais mort.

Par Pierre Marcel Montmory

Thème : Poésie

Date de publication : 25/11/2020

- I – LE DERNIER VOYAGE D’UN TROUVEUR

L’auteur se remémore ses ancêtres trouveurs qui arpentaient la Terre, d’un quartier à l’autre, et portaient parole à leurs gens pour en faire des pays.

 

- II –VOYAGE SOLITAIRE

La muse ne se commande pas : la muse est imprévisible.

Que personne ne fasse le portrait de l’auteur d’après ces paroles car, s’il éprouve de la compassion pour l’humanité, il n’est qu’un artisan écrivain et c’est donc son métier de fabriquer des ouvrages sur commande de son inspiration et les muses qui chérissent son génie depuis le berceau ajoutent la fantaisie pour nous charmer.

 

- III – LA PIERRE SANS NOM

« Artiste au service du peuple,

Je ne suis pas obligé à la reconnaissance.

La poésie est le même mot que la vie.

Ta vie est la poésie que tu te fabriques.

Ta vie est ton œuvre, tu es ton poète.

Tu es responsable, tu réponds de toi. Â» 


  • Roman (134x204)
  • 24 pages
  • ISBN : 9782414509607
9,00 €
4,99 €
Papier
Numérique

Pierre Marcel Montmory

Biographie

Pierre Marcel Montmory

Pierre Marcel Montmory – trouveur – est né le 30 octobre 1954 à Paris.

Enfant de la balle, acteur, directeur technique, peintre, photographe, écrivain, entrepreneur de spectacles et professeur d’art dramatique, il offre ses spectacles sur les places publiques depuis 1964. Grand maître de théâtre et de musique, auteur de fantaisies théâtrales, de contes musicaux, de poèmes, de nouvelles et d’articles divers, il vit à Montréal, depuis 1994, où il donne des récitals de ses musiques, poèmes et chansons.

Lire aussi
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Avis des lecteurs

Critiques de lecteurs - 25/11/2020

Infatigable, mon ami tu vas sur les chemins de pierres, portant ton destin comme une offrande à l'humanité, avec ton sourire toujours avenant, ton regard source d'horizon et la main tendue aux retardataires. Tes poèmes sont toujours une lumière qui nous éclaire et qui nous guide sur le droit chemin tracé par des petites gens simples et éclairés. Ces créations sont une véritable mine de réflexions sur la vie, l'amour, la violence et la joie… S'il s'attaque aux grandes institutions sans âme, c'est pour redonner courage aux petits et aux souffrants tellement plus nombreux et peu entendus de nos jours. Le poète du MONDE. Que vaudrait un poète s'il n'avait la vertu de nous emporter au-delà de lui ? Le poète Rimbaud a écrit : «Je est un autre » et Montmory a le même message et intensité semblable. La meilleure élite qui dénonce et qui se bat pour vous citoyens ! Nous avons découvert avec votre manuscrit la densité de ce dernier autant que la diversité des sujets qu’il aborde. Nous avons remarqué la qualité de votre écriture, dans sa langue, sa construction, son rythme, ou le travail sonore. Cette longue réflexion poétique menée est à la lecture largement nourrie par le travail précis de l’écriture, mis en relation avec la forme et la structure du texte, d’une certaine complexité d’ailleurs, le manuscrit ayant quelque chose d’hybride et échappant toujours un peu à la compréhension globale et au propos univoque. La critique contenue dans votre texte lui permet des résonances fortes, en particulier dans le champ de la critique anticapitaliste, de classe et du travail et de la dénonciation de la misère, de la précarité, de l’inégal partage des richesses. Cette critique est en même temps emmenée par ce qui peut s’apparenter à un espoir humaniste, ouvert, une énergie à donner et partager pour poursuivre d’autres pistes – et en particulier dans le champ de l’art et de l’écriture, avec un accent sur la place des artistes (dans les rues, dans les vies) qui nous a marquées. Par ailleurs, une certaine ironie se fait entendre régulièrement, qui permet de garder une dimension souriante dans ce texte et lui évite des lourdeurs et des gravités parfois induites par les thèmes abordés. Si on lit vite le texte, on entend un sens (commun) et si on le lit lentement, on comprend le(s) sens caché(s). La troisième lecture donne plus de sens au texte, notamment la poésie, La vie en trois dimensions contient toujours des subtilités. Chaque dimension parle son propre langage. Et chaque langage a son lexique. Universel et humain. Compliqué pour être simple et lisible par tous. L'humain est le sel de l'Univers ! La difficulté c'est que le texte appartient à son auteur. Mais dès qu’il est publié, il devient propriété commune. Y compris son sens. C'est ça sa richesse. Et sa raison d'être. Dès qu’il est publié, il appartient au monde. Oui! Le sens, les sens, l'émotion, les pensées. Elles charrient une charge qui change de forme. À force de voyager d'une contrée à une autre, elle bondit sur les vagues de l'éternité, la pensée. Le voyage la perpétue et lui offre la VIE dans toute sa splendeur, pourvu qu'elle trouve des seuils hospitaliers. Quand elle véhicule un bon message, elle sera toujours la bienvenue quelque part. Ce qui est beau est beau, personne ne peut se prononcer autrement. En arabe on dit dans le proverbe « On ne peut pas cacher le soleil avec un tamis ». Les gens portent parfois des lunettes noires. Oui. L'erreur chromatique et optique qui pousse à voir autre chose que la vérité. (Absence de sens de certaines vies, maladie des sens obstrués, émotions refoulées et informulées, la pensée fossile, des réflexes conditionnés). Si le poète est collectionneur de mots, des images, des idées - lesquels il adapte sur le papier pour exprimer sa réflexion, Pierre Marcel Montmory alors - qui dit dans son poème au titre « Les gens ont faim » que : « Je me dois de trouver des paroles qui vont sur les places, dans les lieux de vie, les images produites par l’assemblage des sons » il obtient gain de cause. L’expression de sa parole m’a impressionnée par la manière d’un sceptique multidimensionnel, de l’artiste trouveur. Sa parole, son matériau structurel, pour tisser, pour composer ses poèmes est simple, polyvalent, avec une mordacité accentuée. Et c’est le résultat d’une procédure intellectuelle et cela lui permet de passer à ses textes la concision, avec l’inclusion hardie des mots ordinaires, simples, qui acquièrent une dynamique croissante. De cette manière s’assimile la valeur de leur signification dans le texte. Ses poèmes prouvent par des faits que la Poésie ne se construit pas avec des mots pompeux. D’autre part, constituent preuve que tous les mots sont dignes de produire, de construire un poème, comme en musique s’utilise toutes les notes pour une composition. De cette manière la Poésie touche un public plus grand et ainsi gagne et la Poésie et le lecteur. En plus, la Poésie n’est pas amputée de la vie même. Amoureux de la vie Il charme les humains Avec son cœur et ses yeux Sa voix qui porte le feu Pour éclairer les nuits Il fait la poésie La poésie n’a pas réussi à arrêter une guerre, n’a pu assouvir des affamés, mais elle a fait son devoir : ne pas laisser l’homme seul devant le destin de son existence. La Raison et le Devoir de la Poésie est de parler au nom de l’autre. Et le Poète est libre de défendre ses idées, de combattre pour elles et de les répandre. Melita Toka Karachaliou Écrivain Membre de l’Association des Écrivains de Thessalonique et des Écrivains Méditerranéens, France Gaston Bellemare (directeur du festival international de poésie de Trois-Rivières-Québec) : « Tu es à la hauteur et la grandeur de ce qu'il y a dedans chaque mot. Je t'apprécie, belle et grande bête de solitude partagée ». On ne se lasse pas d'aller à la rencontre des trouvailles de ce trouveur infatigable.