Interview écrite

Rencontre avec Clément Velluet, auteur de « Flagellation acoustique des clones arithmétiques »
19 juin 2015
Posté par
Flora

Rencontre avec Clément Velluet, auteur de « Flagellation acoustique des clones arithmétiques »

Clément_Velluet_EdilivrePrésentez-nous votre ouvrage ?
Cet ouvrage est une invitation à savourer une stylistique du langage, «une menstruation idéologique des mots» des phrases, des métaphores reflétant la pensée, la dynamique de l’intellect comme une fontaine miroir, «des esclavagismes sensuels», par une cristallisation abstraite et incombe, par voie séculière des cristaux mentaux ! Des animaux, par privatisation des abeilles sémantiques, et avoir des liquides acnés… Une morphologie des insectes, par incestueuse, crémation, des Platoniques «Jésus» transformismes ! « Arbres vagins » !

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Le but de cet ouvrage est de transformer, de transmuter, de magnétiser «les substrats gynécologues». Je veux dire que je cherche, à travers ma prose, de changer les carcans, de modifier l’image, (les images) l’image transformatrice, d’une révélation «cépage», par accouchement acoustique, par cérébrale floraison, des idéalités de morphologies, par genoux acryliques, par dé-florescences, des imagos hybrides… .
J’ai écrit ce livre pour apporter des réponses sur les grands mystères de l’univers, de l’homme, de Dieu. Des citations, des réflexions, sur les processus mentaux, sur des morcellements «de crabes génocidaires, asymptotiques, de lièvres appendicites !» des voyelles aux consanguinités, des focalisations, de miettes génocides. Des indemnités, par cryptologies, des masques génitaux.. . Il a pour but «de décerveler» les fornications intérimaires, les linéarités chauves de la Maya catharsis ; par sirènes des anges tautologiques, «des arbres amen».

Pourquoi avoir choisi sous forme poétique ?
L’écriture chez moi est manipulée par des schèmes physiologiques de consciences, «des moléculaires vibrisses» des cheveux atomistes… . La poésie s’est imposée en moi, est devenu une seconde nature, avec le temps. Je souffre d’une maladie psychique, et, celle-ci, m’a empêché pendant toute ma scolarité jusqu’à la fac, de jouir de mes facilités présentes pour le maniement de la langue, la réflexion philo-linguiste. C’est avec un long travail sur moi, et, avec des médicaments, qu’est apparue en moi une intellection supérieure à celle que j’ai toujours connu… . La métaphore, la poésie, est venue comme une rivière de lie arbitre, par contextualité jumeau des riz phonétiques, des danses de langues en libellule clonée… en scissiparité absente et liquide des mentaux, corps littéralisé en âme de cris, par enfantement des chairs onanismes, des calcifications de jambes liquides !…

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Il s’adresse à tous ceux qui aiment réfléchir, lire, écrire, sur la condition humaine, sur les poumons orgasmiques de la conscience, de la chair des os pulsionnels, des lecteurs et lectrices qui n’ont pas peur de lire, de découvrir, un langage nouveau, unique, par matérialité, des jaunes inducteurs, par squelettes myopies ! Le but de cet ouvrage n’est pas de rendre incompréhensible les traités, les thèmes donnés, pour faire de la magie, de la virtuosité tendant à déchiffrer, dématérialiser les lecteurs et lectrices, abasourdis, hypothéqués comme une victime de soi, en-soi, par du vin géologique, ou végétation des communications «lesbiennes»… . Pas de voyance atomistique, pas de déliquescence des monstrations lipides, des chevaux amis, des cuisines en yeux létales, ou mentaux génitaux expropriations, des chevelures sels…

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
J’ai cherché à déconstruire les miroirs apparents, du réfléchissement des langues scientifiques, des images, des abstractions sismologiques, des pamoisons d’interpénétrations d’avec les «clavicules chimiques», les compositions «duc cogitos» liquide, des seuils ou la pensée arrive à son dernier point d’inextinguible connaissance par une forme, un fond, dépasse l’entendement humain… Il y a une profondeur génitrice des images factorielles, par mendicité des transparences, des élasticités de parfums circonflexes, comme une sensualité d’os creusés en ovulation des violoncelles arbitres… . Comme une plasticité de fourmis losanges, de verbes imageries des mortifications, de bilingues extériorités de- soi, par mentalisme, des déjections libérales de foie, en baleines érotomanes ; des phrases logiques par mimétisme des chairs inviolées, en extase, bi-congruences des vins, de fortune agriculture !

Où puisez- vous votre inspiration ?
Je m’inspire d’ouvrages philosophiques, poétiques, scientifiques, d’hier et d’aujourd’hui… Mais je ne vole jamais la pensée de l’auteur, je ne me l’approprie jamais, même honnêtement !!! Je prends par exemple un sujet, un thème, un donné, et, ensuite, je créer du sens, je tisse comme l’araignée sa maison ADN, en polymère extériorité, des jacinthes dé- corporations, des douches a-linguistes, des cristaux, des matricules sens, sang, sent… Des idéologies moustachues, comme des urètres avarices, des dé- choies quantiques, en sensitivités des choses tabagismes, par « abstraires » dos myopathes, des rotules alcooliques, en médicaments, joues des vœux hydres !

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
À ce jour, aucun. J’attends avec patience et confiance, qu’un jour mon écrit trouvera écho chez des lecteurs friands «de poétise».
J’ai écrit plusieurs ouvrages littéraires, dont 3 chez Edilivre,( et 1 chez Edifree, plateforme d’Edilivre ) que je remercie vivement et salue avec déférence, car c’est Edilivre qui a été la première maison éditrice à me publier… . Et pourtant, Dieu sait si ne n’était pas gagné d’avance ( en rapport avec la société, même les personnes lettrées..) !

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Cher lecteur. Il n’existe rien de permanent. Si le ciel m’a permis de publier cet ouvrage, c’est que l’existence est un lien, une éponge, une cinesthésie de molaire extinguible, des feux par moléculaires, absorptions des guitares, des outrecuidances vétérinaires, des maïeutiques «végétalismes» ,des cancers pictogrammes ; des effluves aux abricots cimetières, des vitalités par excroissances des «mêmetés» objectales, des virgules aux monstrations de cerises hypothétiques, guerrières des jeux en bois agnostiques, et minéralisés des microbes laves été…