Livre

Le porc-épic est un bon poisson

Le porc-épic est un bon poisson

Par Ernest Nziengui

Thème : Roman de société / actualité

Date de publication : 19/03/2013

Ce roman nous raconte la suite de l'histoire de Ndoumbou, la terre des palmiers. Ce Ndunzi boulongou perdu dans le sud du Gabon se voit menacé par la déforestation depuis l'arrivée des Asiatiques et des Libanais. Frustrés par l'exploitation abusive de leurs terres, les Ndoumbois manifestent leur mécontentement. Un Asiatique est avalé par un grand python dans Miambe. Surpris par la tournure des événements, le ministre du Ciel et de la Terre est dépêché par le président de la République des excréments du diable. L'arrivée du ministre à Ndoumbou se transforme en meeting politique. L'autorité gouvernementale munie des mallettes fait du petit et grand Léon Mba si bien que les populations envoutées par les billets de banque à l’effigie du président oublient leur revendication principale relative à la déforestation.
  • Roman (134x204)
  • 86 pages
  • ISBN : 9782332551412
14,00 €
6,99 €
Papier
Numérique

Ernest Nziengui

Biographie

Ernest Nziengui

Elie Elisabethe est né à Lambarene au Gabon. Huitième d'une famille de dix enfants, il passe son enfance à Mouila. D'abord à l'école protestante, puis au collège Saint-Gabriel. Bac en poche, il s'inscrit au département de lettres modernes de l'université nationale du Gabon. Après l'obtention d'une maîtrise de littérature française, il s'envole pour l'université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand où il obtient un master 2 de littérature moderne et contemporaine. Actuellement il enseigne la littérature au lycée Raponda-Walker de Port Gentil. Élie Elisabethe qui se définit comme un gribouilleur est aussi l'auteur de la Chute du Padouk et A la médecine.

Lire aussi
Aucun article n'est associé à cet ouvrage.
 

Avis des lecteurs

Le pouvoir destructeur de l'argent - 11/09/2013

Un ventre affamé, des poches vides : voilà les éléments forts qui détruisent la vertu et les volontés. Affamé le peuple, le réduire à sa plus simple expression pour mieux profiter des privilèges du pouvoir, telle est la gangrène qui mine les peuples appauvris, faibles, incapables de retrouver la voie de la justesse et de la justice.