Actualité Edilivre

31 janvier 2013
Posté par
Flora

L’auteur à succès du mois : Frédéric Monceau

Nous avons le plaisir de vous présenter « L’auteur à succès du mois », Frédéric Monceau et son ouvrage Le cœur entre deux chaises qui s’est écoulé à plus de 270 exemplaires en moins de 6 mois.

Auteur_à_succès_du_mois_EdilivreComment s’est passée l’édition de votre livre chez Edilivre ?
L’édition chez Edilivre a été très rapide. J’ai dans un premier temps envoyé mon manuscrit sous forme de fichier PDF puis une première réponse est arrivée dans ma boite mail sous deux semaines. De là, le manuscrit a été corrigé puis j’ai réfléchi à une couverture avec un graphiste. Un peu plus d’un mois après, le livre sortait. Ce fut une satisfaction personnelle et une expérience très enrichissante.

Avez-vous été satisfait par les services d’Edilivre ?
Le service d’accompagnement m’a satisfait dans le sens où on arrive à communiquer de manière assez simple malgré la distance (par téléphone, mail, …). Le seul point négatif réside dans la promotion des ouvrages qui reste encore à développer.

Comment avez-vous réussi à écouler plus de 270 exemplaires de votre livre en moins de 6 mois ?  
J’ai écoulé plus de 270 exemplaires en seulement quelques mois car je me suis pleinement investi dans la promotion de mon ouvrage. Etant donné qu’Edilivre propose un service d’impression à la commande les lecteurs potentiels ne pouvaient pas trouver directement mon roman en librairie ou tomber dessus et se dire « tiens, si je le lisais« . Il faut croire en son ouvrage et c’est ainsi que j’ai pu développer mon public.
J’ai contacté plus d’une centaine de journalistes en décrochant des interviews radio, web, et dans la presse écrite.

Quels canaux de distribution ont le mieux fonctionné entre les libraires, les librairies en ligne… ?
Les canaux de distribution qui ont le mieux fonctionné sont les sites tels qu’Edilivre.com, Amazon et Fnac.com mais également les libraires physiques qui représentent à eux seuls plus de 50 % de mes ventes.

Comment avez-vous fait la promotion de votre livre ?
Sur les réseaux sociaux, Twitter et Facebook, je suis suivi par plus de 10 000 personnes. La promotion de mon ouvrage sur de tels médias a été une des clés de son succès.

Pourquoi avoir choisi de personnaliser votre couverture ? Qu’est que cela a apporté à votre livre ?
La couverture est une vitrine pour un roman, c’est la première chose que voit le lecteur et il faut arriver à faire la différence. Sortir son épingle du jeu lorsque son roman se retrouve dans une librairie au milieu de dizaine d’autres. J’ai choisi une couverture mystérieuse et dans les tons noirs pour nuancer avec la majorité des romans qui sont dans les nuances de blanc.

Pour avoir choisi l’interview vidéo Edilivre ? Qu’est que cela vous a apporté ?
J’ai choisi de faire cette interview vidéo car j’allais sur Paris pour faire de la promotion (interview radio, etc). Internet est un outil qu’il faut utiliser et optimiser, avoir une vidéo YouTube pour parler de son roman est une opportunité à ne pas laisser passer. C’est un retour sur investissement assez rapide malgré qu’on ne puisse pas réellement mesurer son impact sur les lecteurs et les ventes.

Avez-vous des conseils à donner aux auteurs Edilivre pour les aider à promouvoir leur livre ?
Je pense qu’il faut que vous sortiez de vos cercles de connaissances. Les ventes auprès des amis, de la famille représentent une grande part des ventes d’un roman pour un auteur encore peu connu mais il ne faut pas négliger les anonymes. Les lecteurs qu’on ne connaît pas qui font vivre votre livre plus loin encore. J’ai ainsi vendu des exemplaires en Belgique, au Canada ou encore en Suisse. La meilleure méthode à mes yeux reste la présence intensive sur les réseaux sociaux qui permet de détruire les barrières mises par la télévision ou la presse écrite.

Quels sont vos projets pour la suite ?
Je viens de terminer mon second roman La tailleuse de ballet et le manuscrit a été envoyé, j’attends encore des réponses. Je pense écrire encore un troisième roman d’ici peu de temps mais je ne cherche pas à écrire pour écrire, j’attends le bon moment et que l’inspiration pointe le bout de son nez d’elle-même. Je continue en parallèle mes études dans la communication et envisage de me déplacer sur Paris pour travailler dans une rédaction ou à la télévision.