Les Lettres du voyageur

L’Homme qui regardait la mer est le lieu d’un apprentissage politique et d’un espionnage culturel qui valent leur pesant d’or, d’un transfert de mentalités citoyennes dans un Landerneau politique camerounais, où la démocratie et la bonne gouvernance souffre d’une crise réelle de vocation, de professionnalisme et de patriotisme.
À distance des jugements de valeur préétablis et des réductionnistes regards insulaires du politique en Afrique, Ernesto Yene entreprend une démarche empirique et ethnométhodologique des univers culturels, où la démocratie et les droits de l’homme sont un franc succès, avant d’en mesurer les écarts avec son substrat d’étude principal : le Cameroun.