Vingt-huit juin 1935.

Nice qui s’endort dans la nuit. La brise estivale qui caresse ce café, cet immeuble regorgeant de secrets plus sombres les uns que les autres. Cette brise qui joue avec le destin, avec le karma, avec nous. Nous avions quatre heures pour changer l’avenir. Deux-cent quarante minutes pour éviter le pire. Mais le vent du passé ne nous avait pas prévenus que tout avait été scellé dix-huit ans en arrière. Nous ne savions pas que ce soir-là allait changer nos vies mais que le plus dur restait à venir. Tout a commencé quand nous étions tous les quatre, ensemble. Tout finira quand je serai seule, sans eux. À moins que…