Rencontre avec Wilson Dolcin, auteur de « Dialogue avec l’université : nouvelle théorie comportementaliste sur la culture de l’intelligence »

Présentez-nous votre ouvrage ?

Ce livre comporte deux parties en 110 pages. La première partie fait état de divers problèmes aux dysfonctionnements structurels de la société humaine résultant du rôle révolutionnaire de l’université. Le silence et le désengagement de l’université aux misères de la masse mondiale prouvent l’existence d’une complicité avec les classes dominantes. Dans la seconde, je retrace les nécessités d’une option urgente  sur l’implantation  d’une école haïtienne, autour du thème : Haïti, Éducation et réforme.

L’essentiel c’est de voir que l’université soit libérée enfin et qu’elle oriente ses produits à l’école de la vie, à avoir le sens d’invention à être capable d’entrer dans un processus appelé  « décolonisation épistémologique ».

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Je suis venu dialoguer avec l’université, pas pour verser dans l’idéologisme, mais  pour stimuler sa libération sous l’emprise de l’Élite économique mondiale et dénoncer sa complicité avec les classes dominantes afin qu’elle soit libérée elle-même de l’esclavage épistémologique issu de la transmission maladroite de savoirs via des mensonges culturels : une convention secrète des classes dominantes mondiales.

Á  quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Mon ouvrage s’adresse à l’être humain de toutes les catégories raciales unifiées.

Quel message voulez-vous transmettre dans ce livre ?

De nombreuses appréhensions et approches d’antériorité qualifient l’homme d’animal culturel, économique et politique etc. Moi je veux laisser savoir à tous que  l’être humain, à la recherche de la connaissance, guidé par l’intelligence, est un oiseau investigateur (Voir p18, 9^e ligne).

Où puisez-vous votre inspiration ?

Par observation des choses humaines. Et je suis convaincu qu’elles sont naturelles et conventionnelles. Mon inspiration ne s’arrête pas là, elle est poussée de la haine contre les injustices et la misère commises aux fils maltraités et aux oubliés de l’histoire faisant objet d’humanisation liée  à la psychologie de la frustration, à « la philosophie du non » et à la poésie du poéticien humaniste.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je ne sais pas, mais « Tout ce que je sais, je sais que… » Tel est le prochain ouvrage qui fera référence à la culture et la civilisation Négro- africaine, à la traversée de cette culture dahoméenne depuis les hominidés  en passant par Atlantide pour arriver là où nous sommes aujourd’hui et stéréotypés par les vérités cosmopolites.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Enfin, chers lecteurs, classé dans la galerie des grands écrivains en novembre 2012, je suis un auteur humaniste, insoumis qui tente et qui innove dans ce dialogue. J’innove sur le comportement renouvelé de l’être humain : une schématisation démontrée dans une nouvelle théorie élucidée par une étude temporelle trilogique du passé, présent et l’avenir reposant sur la culture de l’intelligence (Voir pp 53-65). J’annonce de choses nouvelles comme ‘’pédagogie de libération’’ (Voir PP 33-34), philosophie électorale etc. (voir pp 39-43).

Achetez nombreux !