Rencontre avec Line Llao, auteure de « Autres dialectiques, notes de lecture »

D’où vous vient votre goût pour l’écriture ?
J’écris depuis mon enfance, plus portée vers les commentaires (de textes) que les résumés, puis dès ma première année d’ Université, en double DEUG Section Géographie de Faculté de lettres, j’ai fui les cours dans les amphithéâtres et salles de classes, pour écrire ma première nouvelle, encore en manuscrit aujourd’hui, dans un journal que j’avais relié moi-même en l’encollant d’un tissus à fleur récupéré d’une ancienne chemise de nuit de ma mère, et que je conserve en souvenir.
Dès les années 80, j’écris à perte de temps, mes malheurs, journaux intimes, tente d’en rédiger études, thèses, entre dans les écritures autant que dans les ordres, puis participe à des ateliers écriture, qui m’auront enseigné, sous des consignes d’écritures d’écrivains de ma région, la poésie libre. J’ai participé à un projet d’édition de participant d’un de ces ateliers, et les Éditions du Champ Social ont publié mes deux premiers livres de prose poétique, qui m’ont lancé dans l’écriture que j’ai voulu professionnaliser, dans son étude plus complète de différents styles de pensée, d’abord philosophique,puis humoristique, style juridictionnel, journalistique, autofiction. Dont est issue ma série en 4 tomes de « Judas, Lucarnes et œilletons,mégères ou le Baiser de Judas », parue chez Edilivre, que je remercie pour cette publication et de m’avoir donné la chance de ces parutions d’ouvrages, celles de « Embruns », puis « Empreintes », deux livres de poésie libre et de « Autres Dialectiques », mon tout nouveau livre.

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
« Autres Dialectiques » présente une étude critique, une philosophie du quotidien, un essai d’analyse dialectique du capitalisme sauvage « mondialiste », face à une politique libérale usant du « rhizome sexuel » et de sa frustration, pour régner sur le monde humain, la planète, ses biotopes. État de fait réduisant l’Humain à une criminalité politique nataliste, intolérable autant que répressive, dans l’emploi de l’entre-torture mentale, médicale, physique, sexuelle et génitale, de l’auto-sévice Malthusien et ses aberrations instaurés des prosélytismes fondés des intégrismes laïques et religieux. Crimes contre l’Humanité en toute impunité ostensible impunis d’un capitalisme libéral ravageur dans son usage de la torture dans son acception généralisée et banalisée, commune aux peuples maintenus dans l’ignorance de leur sexe et de son libre usage rationnel, opium des peuples maintenus dans un aveuglement idéologique constant. Que seul à mon avis un Socialisme Altermondialisme écologiste mesuré pourrait éviter.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Ce livre, sorte d’épilogue résumé et annexe à ma série « Judas », a été rédigé dans un but de réflexion sur la frustration sexuelle, la castration des fonctions génitales et mentales, chez l’Homme de tous sexes, tous genres, tous âges, inhibitions initiales et initiatiques pratiquées rituellement et subconsciemment établies en consensus avec le pouvoir dans les peuples dès la naissance des êtres humains, ses troubles, ses fausses résolutions, ses répercutions dans la politique conflictuelle de guerre mondiale capitaliste courante.

Quel message avez-vous souhaité transmettre à travers votre ouvrage ?
De cette étude personnelle, je serais ravie de pouvoir transmettre quelque savoir quelque influence qui pourrait inciter, voire engager à une démocratie républicaine réelle, qui n’a jamais eue lieue et n’a jamais été appliquée telle que ses textes la prévoyaient. Une action libertaire du quotidien de chaque citoyen dans une lutte rationnelle et responsable contre les crimes, injustices, sociales, planétaires, leurs conséquences sur la vie animale, les météores, éléments et biotopes naturels par une écologie altermondialiste mesurée, une pensée socialiste réformiste.

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Aucunes ! Sinon de ne rien prétendre sinon informer !

Vos auteurs de référence ?
Desmond Morris, Francois De Closets, Kate Millet, Pierre-Jakez Hélias et Le Cheval d’orgueil…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Quelques contes et manuscrits encore à relire, corriger et ré-écrire pour certains, m’attendent, dans quelque coin de mon bureau. Dont une suite peut-être, et je l’espère vivement, à cette dernière publication.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Un grand merci à tous, de lire si vous le voulez, ces livres, en version papier et numérique disponibles sur le site Internet «www.Edilivre.com» !