Rencontre avec Julien Perez, auteur de « Journal d’un résilient »

Dans quelle région habitez-vous ?
Je vis en Bourgogne, plus précisément en Côte d’or depuis un peu plus de deux ans.
Je m’y plais beaucoup.

Présentez-nous votre ouvrage ?
Mon ouvrage, comme son nom l’indique traite de la résilience. Ce mot fut introduit en France par Boris Cyrulnik. J’ai d’ailleurs lu beaucoup de ses livres.
Mon ouvrage l’aborde d’un côté objectif mais aussi subjectif.
Bien que je ne mentionne jamais mon handicap. Je me méfie beaucoup de la stigmatisation.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Ce livre est très personnel, il ne ressemble en aucun cas aux autres écrits que j’ai écrits en 2015.
J’ai écrit ce livre car j’ai fait tout simplement ma résilience.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Cet ouvrage s’adresse à tout le monde, mais aussi aux personnes qui ont des handicaps, ou en difficulté psychologique, et enfin, à celles et ceux qui ont fait leur résilience.
A ce propos, je tiens à rajouter que je vais envoyer « Journal d’un résilient » à Boris Cyrulnik.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
S’il y a un message, c’est un message d’optimisme.
C’est que quoi qu’il arrive, on peut toujours s’en sortir. On peut rebondir.
Mais cela demande un travail. Mon livre n’est en tout cas pas un mode d’emploi.
Nous sommes tous différents, nous faisons tous une résilience, mais pas de la même manière.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Dans le moment présent, que je nomme l’éternité.
Même si cela fait sourire quelques-uns, je ne m’en offusquerai pas.
Dans la Nature aussi : le ciel, les oiseaux, les arbres ensuite.

J’utilise différentes techniques pour chacun de mes ouvrages.

Pour ce livre, j’ai construit les chapitres, les sous-chapitres et les synthèses, puis j’ai écrit dans l’ordre.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je suis d’ores et déjà en cours d’écriture de « De l’indécence » et de « Plaidoyer pour la folie et la déraison », deux essais philosophiques et poétiques.
Je prépare aussi un roman qui s’intitule « Nymphe »

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Que toutes celles et ceux qui lisent mes livres, n’hésitent pas à me contacter pour me laisser leurs avis.

Voici ma page-pro sur Facebook : https//www.facebook.com/julienperezecrivain/

Bien sûr, je les remercie aussi, et je prépare pour 2016 d’autres surprises.