Interview écrite

10 septembre 2013
Posté par
Flora

Rencontre avec Julien Martin, auteur de  » Correspondances criminelles  »

Julien_Martin_Edilivre

Présentez-nous votre roman policier Correspondances criminelles ?
Mon livre est un roman épistolaire, il est constitué d’échanges de lettres, une de ses particularités est qu’il est constitué principalement de personnages immoraux y compris le procureur Jérémy Marceur qui, pour arriver à ses fins, peut faire preuve d’un fanatisme inquiétant.

D’où vous est venue l’inspiration pour l’écriture de ce troisième ouvrage ?
J’ai fait quelques lettres imaginaires pour le journal d’une association prénommée Tégira, cela m’a plu alors j’ai eu l’idée de voir si je pouvais pousser le défi jusqu’à constituer un roman.

Quelques mots sur les protagonistes principaux de votre récit, Anna Vendetta, Jérémy Marceur et Guillaume Moute ?
Anna Vendetta est une femme assez gentille au départ mais elle devient de plus en plus dangereuse. Jérémy Marceur a une conception particulière de la loi, faire couler le sang d’innocents pour détruire une organisation criminelle ne le dérange pas. Guillaume Moute est le seul personnage important à respecter la loi.

Pourquoi avoir prénommé le personnage central de votre histoire Vendetta ? Un clin d’œil à l’origine du mot ?
Vendetta illustre l’envie de se venger du personnage principal.

Expliquez-nous pourquoi avoir utilisé un style épistolaire ?
D’après mes connaissances le style épistolaire n’est pas très employé dans le roman policier, cela constitue donc un moyen de se distinguer des centaines d’auteurs qui font du polar.

Quels sont vos projets futurs ?
Réaliser une bande dessinée avec le dessinateur David Bauwens qui sera une adaptation de mon premier roman Le chevalier des elfes. Publier un quatrième roman d’ici moins d’un an.

Un dernier mot pour vos lecteurs ?
Si vous aimez Correspondances criminelles, ce serait gentil de le commenter en allant sur des sites comme Babelio ou Critiques libres.

Please specify an ID for your product or products.