Rencontre avec Francis Bocquillet

Francis Bocquillet, vous livrez avec La vie, la nature et l’amour votre second recueil de poésie publié chez Edilivre. Que pouvez-vous nous en dire ?
Ce nouveau recueil de poésie rassemble soixante poèmes qui évoquent aussi bien la nature, la philosophie de la vie telle que je la ressens et aussi mes pensées sur l’amour selon mon vécu ou mon imaginaire.

Qu’est ce qui vous attire tant dans la poésie ? Cette passion d’écrire des poèmes m’est venue par hasard il y a une quinzaine d’années. J’ai eu soudain l’envie de m’exprimer en vers, puis en alexandrins. Je dois tenir cela de mon grand-père maternel, qui avait la plume facile et avait écrit quelques poèmes en vers. De ces poèmes il ne reste rien, car ils n’avaient pas été publiés. Quand j’ai une pensée sur un thème précis, j’ai envie de le mettre en vers, poussé par je ne sais quoi.

Quels sont vos secrets pour trouver l’inspiration ?
Je n’ai pas de secret, je crois que c’est un don qui s’est révélé comme çà, un jour sans prévenir. Je devais l’avoir en moi, mais je n’avais sans doute pas su m’en servir.

A travers vos poèmes, souhaitez-vous délivrer un message ?
Si mes poèmes pouvaient délivrer un message à celles ou ceux qui les lisent, j’en serais heureux. Mais je n’ai pas la prétention de donner des leçons à mes futurs lecteurs. Chacun ressent les choses comme il l’entend.

Quel serait le plus beau compliment qu’un lecteur puisse vous faire?
Qu’il aime ce que j’écris, que c’est un peu du Baudelaire.

Avez-vous un autre recueil en cours ?
D’autres poèmes sont déjà écrits, et je dois en faire une sélection pour une nouvelle publication sûrement, pour une parution dans moins d’un an. Je prépare aussi un livre sur ma vie légèrement romancée et qui comportera quelques poèmes.