Rencontre avec Evelyne Simoens, auteur de «Moïra»

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Le travail est fortement valorisé car, outre le salaire, il y a une série d’avantages quand on travaille. C’est là qu’une mutation professionnelle arrive alors que le couple a un enfant. Célibataire, on voyage sans problème pour divers organismes. Il y a cependant plusieurs catégories d’expatriations professionnelles.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Une destinée… et des genres de boulots tellement différents.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Alors que l’on prend peu le temps de lire car une série d’autres médias prennent le dessus ; l’ordinateur, les nouvelles technologies… il semblerait que certaines personnes aiment encore la lecture. Mais, qui ?

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Il y aurait une variété de situations professionnelles et de mobilité internationale. Le voyage peut se faire tant en Amérique du Sud comme cela se faisait avant (voir témoignages du Vénézuela et d’autres pays que l’on trouvait très pittoresques ici).

Où puisez-vous votre inspiration ?

Nous sommes à Bruxelles. ‘Bruxelles, je t’aime’ (chante Angèle). Une grande ville.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Le travail, la GRH peut-être.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

 L’incompréhension entre les cultures, la rencontre et finalement, sa vision personnelle qui fait que l’on ne comprend pas l’autre, son vécu tellement différent du sien.

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