Interview écrite

Rencontre avec Daniel Durand, auteur de « 1914-1918, cent ans après, LA PAIX ! »
1 août 2018
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec Daniel Durand, auteur de « 1914-1918, cent ans après, LA PAIX ! »

Présentez-nous votre ouvrage.

Dans ce livre, je montre que la guerre et la paix sont en fait les deux faces d’une même pièce de monnaie, l’expression de deux réalités opposées et pourtant liées. Comment ont-elles évolué au cours des siècles ? Plus important, comment les réalités qu’ils recouvrent se sont-elles transformées ? Comment le curseur s’est-il déplacé entre ces deux conceptions du monde qui traversent notre histoire depuis des siècles, « ci vis pacem, para bellum » (si tu veux la paix, prépare la guerre)  ou « ci vis pacem, para pacem » (si tu veux la paix, prépare la paix) ?

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

En écrivant aujourd’hui cet ouvrage de réflexions sur l’engagement pour la paix hier et demain, alors que l’on commémore le centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale, je m’efforce de montrer toutes les potentialités nouvelles dont disposent les humains pour construire un monde de paix durable.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Je m’adresse à toutes les personnes soucieuses de construire une planète pacifiée et vivable, pour eux, aujourd’hui, et pour leurs enfants et petits-enfants, demain, et qui ne veulent pas rester passifs pour cela.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Mon livre veut être un plaidoyer porteur d’un vigoureux optimisme pour ne pas avoir peur du monde de demain, de ses incertitudes mais, au contraire, pour en saisir toutes ses ressources.

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

L’engagement pour la paix dans le monde date pour moi de plusieurs décennies et notamment après la naissance de ma fille.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai en cours un projet d’histoire du Mouvement de la paix en France, depuis 1948, ainsi sans doute que d’un ouvrage pour expliquer l’utilité des Nations unies, aux jeunes lecteurs.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Autrefois, les gens ordinaires étaient les spectateurs de l’histoire du monde, que faisaient et défaisaient quelques puissants. Aujourd’hui, les progrès de l’éducation, des moyens d’information et de communication moderne comme la télévision et les réseaux sociaux, permettent aux citoyens d’interagir de plus en plus et de faire émerger une citoyenneté mondiale. N’en ayons-pas peur, au contraire !