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Éditions Edilivre
Rencontre avec César Carrasco Mollet, auteur de « Les Mémoires de Cesare – Première partie »
Présentez-nous votre ouvrage
« Les Mémoires de Cesare » est une suite d’histoires réelles qui racontent mes expériences vécues avec une petite touche fantastique. Au début de mon adolescence, deux personnages ont occupé toute mon attention : le Clown et L’Arlequin ! J’ai mélangé les deux et j’ai créé mon propre personnage. Sur la couverture du livre, le mot Arlequin commence avec un « H », mais dans le livre, le « H » disparaît. Ce n’est pas une faute, c’est une blague : la blague de l’Arlequin.
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
J’ai fait de la musique, de la peinture, des sculptures, des photos créatives et j’ai toujours travaillé seul. Cette fois, j’avais envie de travailler en équipe et ce n’est qu’avec l’écriture que ceci a été possible. D’ailleurs, « Les Mémoires de Cesare » n’aurait jamais vu le jour sans la collaboration, les précieux conseils, les corrections et les connaissances de la langue française de mes amis François Gombás, Michel Coquoz et Alain Sunier.
À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Vous êtes tous les bienvenus !
Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Pour moi l’important c’est de partager, d’essayer de faire rêver les gens, d’avoir des compromis et d’apporter une petite lumière si c’est possible. Mon but n’a jamais été d’influencer les gens. Ces sont mes mémoires ! Ce sont mes expériences !
Où puisez-vous votre inspiration ?
L’inspiration vient de partout, que j’aie les yeux ouverts ou fermés et que je sois seul ou pas. Cependant, pour moi, sans la pratique et la production, l’inspiration resterait dans ma tête car personne ne peut entrer dans mon crâne et mon cerveau. Je suis plutôt méthodique ! Pour moi, créer c’est un travail comme les autres.
Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
La deuxième partie de mes mémoires : « Les Mémoires de Cesare » volume deux.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
Vivez le moment présent ! Essayez de toujours aller de l’avant ! Je voudrais finir avec un remerciement à la Maison Edilivre pour avoir rendu possible cette expérience et j’espère que d’autres suivront.