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Didier Marteau dans Le Maine Libre met en avant ses ouvrages
21 mai 2019
Posté par
Éditions Edilivre

Didier Marteau dans Le Maine Libre met en avant ses ouvrages

Le Maine Libre dresse le portrait de Didier Marteau. L’occasion pour l’auteur de présenter ses ouvrages .

 

 

 

A-propos des livres :

 

Les Yeux de l’orage

Au cours d’un violent orage sur le centre-ville du Mans, une inconnue se précipite sur le siège passager de la voiture de Bernard, sans un mot, juste deux grands yeux noirs que Bernard n’oubliera pas. La jeune fille disparaît le lendemain matin, ne laissant à Bernard qu’une photo de son visage. Pourquoi ? C’est la question qu’il se pose. Bernard, qui dirige une petite agence de détectives et de surveillance, va investir tout son temps pour découvrir une explication, mais l’enquête qui va l’entraîner dans la campagne sarthoise va se révéler plus dangereuse que prévu.

 

Mes états d’homme

De mots d’amour en maux d’amour, les mots qu’on chuchote avec les yeux, les mots qu’on écrit avec le cœur, tous les mots sourires, les mots moqueurs, les mots qui font rire ou qui font peur. Les mots qui s’effacent sans dire adieu, les mots qu’on attend pendant des heures, les mots qui nous brûlent comme le feu, les mots qui rassurent lorsque l’on pleure, les mots qui trahissent les mots menteurs, tous les mots qui piquent les mots colères, les mots qui se cachent derrière les fleurs, les mots qui nous glacent, les mots d’hiver. Les mots qui se perdent dans l’ennui, tous les mots qui riment avec poème, les mots qui arrivent sans faire de bruit, les mots qu’on invente pour dire « je t’aime »…

 

Les Gens

Toutes les personnes que l’on croise au cours d’une vie ont une histoire, parfois lisse, parfois accidentée. Ce sont ces fausses notes et ces dérapages qui créent les émotions que l’on retrouve à chaque page de ce recueil. Comme une galerie de tableaux peints avec des mots en couleur, la visite interpelle et trouble parfois car on y retrouve un morceau de notre histoire ou celle d’un proche. Si nos yeux se sont fermés certaines fois, laissons notre cœur s’ouvrir.