Interview écrite

Rencontre avec Jérôme Amundala Munganga, auteur de « A malin, malin et demi »
3 octobre 2014
Posté par
Flora

Rencontre avec Jérôme Amundala Munganga, auteur de « A malin, malin et demi »

Jérôme_Amundala_M_EdilivreD’où vous vient votre goût pour l’écriture ?
De ma maison… J’hérite du goût de l’écriture, à partir de mon père qui se plaisait à collecter des tas et des tas de lettres de ses correspondances. A l’époque, il n’y avait pas encore l’internet. Il est décédé moins de cinq années après implantation du WEB au Congo

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
« A malin, malin et demi » m’est venu du pur fruit de mes imaginations. En l’envoyant même chez EDILIVRE, je m’imaginais que l’histoire risquait d’être réfutée… Et ce fut pour moi, une joie incommensurable, lorsque ce soir-là, je reçu l’accord de publication de l’éditeur. Je me souviens encore que je distribuais des bises, à tout bout de champs, à toute personne qui passait devant mes lèvres. Cool !

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Parce que je voulais occuper mon temps à vraiment écrire et faire quelque chose d’intellectuel, d’artistique, de littéraire et de romanesque !

Quel message avez-vous souhaité transmettre à travers votre ouvrage ?
Mon message concerne les abus en tous genres : Abus d’alcool, abus du sexe, abus d’orgies, abus de confiance en soi et en autrui…

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Je crois que c’est sa forme d’écriture, le récit basé sur le comique, le drame, la liberté de parler du sexe… Du moins, à mon humble avis.

Vos auteurs de référence ?
Mes auteurs de références sont : Gérard de Villiers, Comtesse de Ségur, Agatha Christie… J’ai beaucoup lu sur des séries Harlequin sans trop maîtriser les noms de tous ses auteurs, en tout cas… Comme auteurs Africains, difficile à citer, car le système de distribution des œuvres littéraires est très amenuisé, faute des réseaux appropriés et le désintéressement des financiers à soutenir l’œuvre…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
A l’avenir, j’aimerais mieux embrassé les ouvrages à caractère analytique des faits géopolitiques universels.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Qu’ils se donnent la peine de lire mes œuvre. Ils ne seront pas déçus !