Interview écrite

Rencontre avec Olivier BODELLE, auteur de « L’ABONDANCE DE BIENS NE S’ETERNISE PAS »
13 décembre 2017
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec Olivier BODELLE, auteur de « L’ABONDANCE DE BIENS NE S’ETERNISE PAS »

Présentez-nous votre ouvrage

Mon ouvrage prend naissance dans les Hauts de France justement, au sommet d’un magnifique site qui s’appelle le Cap Gris Nez. Subitement le jour se drape de nuit, puis d’étranges lumières stroboscopiques inscrivent dans le plafond céleste, un précepte en latin qui deviendra  une intrigue pour l’humanité  entière.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Je m’interroge  quant aux interprétations divergentes  portées sur un événement unique, plus précisément les désaccords  que la nature humaine  assène à ce message  rédigé en latin.

A quel lecteur s’adresse votre livre ?

A tout lecteur qui souhaite voyager non seulement à travers le Monde mais aussi dans le cœur et la complexité de l’être humain. Le livre s’adresse aussi au lecteur qui aime la planète sur laquelle nous vivons, ça paraît un pléonasme, et pourtant.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Je laisse le soin au lecteur de l’interpréter comme il le souhaite et je ne peux pas dévoiler la fin du roman, notamment ma propre interprétation.

Ou puisez-vous votre inspiration ?

Quand les robinets de mon imaginaire sont ouverts tout simplement. Une idée germe : « et si il se passait tel événement, qu’arriverait-il par la suite ? ». Puis, sans savoir  où ma plume m’emmènera, Je  deviens autant  lecteur qu’auteur de ma propre histoire. Le  challenge est de faire atterrir l’avion de mon imagination avec un maximum de  lecteurs embarqués, si possible des passagers satisfaits du vol. Mon inspiration s’exprime quand l’écriture prend son rythme de croisière, je ne suis plus moi-même mais un outil au service d’une page blanche.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je n’en ai aucune idée, ça permet à l’imaginaire de prendre le dessus. Un matin, je  divague sur une pensée, puis  le moteur s’enclenche ou parfois il cale. Je pense que les projets sont inhibiteurs, ils cloisonnent un peu la liberté qui doit glisser dans les mots.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je remercie infiniment chaque lecteur qui  consacre une  parcelle de son existence  à la découverte du roman. D’autant que la société foisonne d’auteurs en quête de lecteurs potentiels, si le choix se porte sur ma narration, c’est  flatteur. J’espère par le biais du titre, mais aussi par la présentation du sujet, que les lecteurs seront nombreux à  s’évader dans mon relatif délire. Mais je reste lucide,  présenter une création au public est une forme d’exhibitionnisme,  seul le lecteur apprécie ou non le portrait qui se dévoile à travers les pages.