Née à Ris-Orangis le 4 mars 1991, Myriam est la troisième enfant Ronseaux sur quatre au total. Elle n'a jamais été vraiment proche des ses deux grandes sœurs ( âgées de 25 ans et 23 ans) ni de son frère d'ailleurs âgé de 15 ans. Elle est solitaire mais est dotée d'une grande curiosité intellectuelle. Très tôt, elle se passionne pour l'histoire ( Avec Napoléon 1er , la première et deuxième Guerre Mondiale puis la Guerre Froide avec JFK ,l'histoire des États-Unis dans son ensemble et Alexandre) mais aussi pour la littérature c'est pourquoi elle choisi la filière littéraire (2007-2009) au lycée pour développer ses capacité puis d'aller en Hypokhâgne(2009-2010). Ses modèles littéraires sont variés allant "classique" au fantastique tels que Goethe( Werther, Faust etc...), Hugo( les chatîments etc...), Baudelaire (tardivement), Homère( L'iliade en particulier), Wilde ( Dorian Gray), Brönte, Musset, Rousseau, Tolkien et aime par dessus tout l'œuvre de JK.Rowling dont elle est fan. Elle aime voyager : La Grèce, Le Québec, L'ouest américain et Berlin ont été ses destinations. Malgré les insultes répétées au cour de ses études, et les difficultés familiale ( famille recomposée), elle trouve un semblant de subsistance grâce à sa meilleures amie ( son "Hibou") et à Harry Potter. Elle travaille avec acharnement pour compenser son "inexistence parmi les humains". 2007 fut l'année de rupture ou tout s'est effondrer : la fin d'un monde et de celui qui l'aidait à surmonter les insultes l'anéantie ce qui la poussa à écrire des poèmes. Son objectif est de montrer la conséquence du harcèlement moral sur elle et d'empêcher que cela continue. Sensible à l'extrême depuis cette année fatale, elle voue une haine implacable à l'intolérance et se rapproche en cela du persécuté Jean-Jacques Rousseau avec qui elle se compare par leur destin presque similaire. Sans sa meilleure amie qui l'aide avec tout ce dont elle est capable, Myriam serait restée comme morte et ne rirait probablement plus. Enfin , tout changea lorsqu'elle choisit d'aller à la fac plutôt que la khâgne et étudie , à présent, à Paris-I dans sa passion de toujours : l'histoire. Parallèlement , elle continue le théâtre qu'elle adore dans la mesure elle peut devenir quelqu'un d'autre le temps d'une représentation. Pour finir, Myriam reste avant une romantique , en mal du siècle, ne se sentant guère à l'aise avec le monde d'aujourd'hui, préférant le passé , plus glorieux des Anciens Grecs ou Romains, des Révolutionnaires.