Ils nous ont dit

22 octobre 2009
Posté par
mapras

Témoignages des auteurs Octobre 2009

« Merci et tous mes compliments : dans sa présentation comme dans son exécution, le livre m’a séduit et, je vous l’avoue, je n’osais pas en espérer autant. Un très beau travail ! Une finition impeccable et de grande qualité : le reflet d’un grand professionnalisme. »
Claude Cattey – Un impossible Rêve !

« Je suis tombé par accident dans l’écriture. Une façon pour moi d’échapper à une réalité de vie… Ecrire «  La Locomotive Noire » a été un devoir de mémoire pas seulement pour moi mais pour toutes les personnes qui  font des mots une thérapie. Un jour l’importance de publier est devenu une évidence… Avec EDILIVRE et son équipe rédactionnelle j’ai trouvé l’éditeur que je recherchais. Modernité, ouverture, professionnalisme, respect de l’environnement, accessibilité, souplesse et compréhension…A la réception de mon ouvrage, j’ai été pris d’une belle émotion. Celle qui s’exprime par l’envie de dire merci à tous ceux qui m’ont accompagné dans cette aventure. Mais mon premier « coup de cœur » va vers vous,  EDILIVRE, qui avez  fait de mes mots un livre. Vous ne me donnez qu’une seule envie continuer à écrire et être publié, tant l’émotion est belle. « 
Lukaz le Goaris – La locomotive noire

« Je n’ai que des compliments de mes premiers lecteurs, tant pour EDILIVRE APARIS que pour moi-même. Il y en a même qui m’affirment (parce qu’ils ne sont pas objectifs) qu’il est dommage que la période des prix littéraires soit engagée…
En tout cas, bravo à votre Maison d’Edition dont je suis, en ce qui me concerne, totalement satisfait. Merci !
« 
Edgart Faveur – Chère Facture suivi de Sanguines

« Je vous remercie encore infiniment d’avoir rendu possible un rêve que je ne pensais même pas voir réalisé ! ! !  L’annonce de cette parution a semé une grand joie chez mes proches qui savaient à quel point cela me tenait à coeur. L’idée que le drame que nous avons vécu, relaté dans « Enfant de salaud », a désormais quelques chances d’alerter d’autres victimes ou coupables potentiels m’apporte un grand réconfort et le sentiment d’un devoir accompli parmi tous ceux qui m’incombent. Et puis si quelques acteurs de notre Justice peuvent tirer des deux ouvrages quelques idées dans le cadre de leurs réflexions sur les évolutions de la Justice et du système carcéral, je n’aurais pas perdu mon temps non plus. Je tiens à rendre hommage au travail que vous avez accompli. Mes premières relectures du BAT m’ont montré à quel point je n’avais jamais vraiment cru pouvoir être édité un jour, et c’est avec une infinie tolérance que vous avez accepté une quantité impressionnante de corrections qui auraient normalement dû précéder mon premier envoi. Mon perfectionnisme m’a amené à vous faire faire plusieurs trains de corrections successives dont je vous sais infiniment gré. En publiant ces deux livres, vous avez accompli certes un acte professionnel de qualité, mais aussi un acte d’une grande humanité, et de cela je vous serai toujours reconnaissant. »
Jérôme Lefort – Enfant de salaudChroniques d’intra-muros

« Merci ! Merci et tous mes compliments : dans sa présentation comme dans son exécution, le livre m’a séduit et, je vous l’avoue, je n’osais pas en espérer autant. Un très beau travail ! une finition impeccable et de grande qualité : le reflet d’un grand professionnalisme. »
Claude Cattey – Un Impossible Rêve ?

« Écrire seul dans son coin, c’est être comme Robinson sur une île. Rousseau avait bien lu Crusoé, et je pense que si écrire c’est rêver, c’est aussi se promener solitaire. Mais il faut faire l’exégèse de cette solitude et se coltiner au monde, éprouver son verbe dans la clameur de ces voix intérieures qui vous disent : « Publie ! ». L’éditeur qui vous dit « Oui ! » est comme Vendredi, il vous aide patiemment à construire, organiser, ordonner… L’édition, c’est « la possibilité d’une île » ouverte à tous les vents de la lecture, un isthme reliant votre lopin de songes au continent de l’expiation d’un moi qui s’offre. L’édition n’est pas sédition, c’est au contraire l’ordre, le calme et la subordination aux exigences de la parution qui est une apparition transcendant le mot fébrile, écrit dans une grotte, en un Verbe incarné et incarnat comme une tâche de votre sang signant un pacte diabolique. Mais les contrats signés avec Edilivre sont angéliques ! D’ailleurs, je les marque de ma signature avec une plume de séraphin, et c’est pourquoi mon premier livre parle d’Harpo Marx qui pirouette comme un farfadet incongru dans le tumulte des nuées, harpe au poing. Merci à Edilivre de m’avoir concédé un peu de sa confiance, et bravo pour avoir opéré, avec la plus grande rigueur et le savoir-faire amical qu’il prodigue à chaque étape de la parution de votre « bébé » (publier est une parturition, le livre une délivrance), un travail qui permet de penser que l’édition ne vous fait pas toujours payer l’addition… »
Patrick Boutin – Harpo (un ange passe)

« Pour des raisons de force majeure, je n’ai pu vous contacter plus tôt pour vous dire que je suis pleinement ravie de la présentation de mon ouvrage. Belle couverture, bon format, et écriture de la taille convoitée. Je ne pouvais souhaiter mieux et je vous en remercie infiniment. Les cartes de visite sont une idée géniale pour présenter l’ouvrage en toutes occasions, ainsi que pour vous faire connaître, sans avoir le livre sur soi. Encore grand merci d’avoir choisi de publier le fruit d’une existence, mêlée à de l’imagination. »
Suzanne De Mosedamgaard – L’envol des hirondelles

« Je me dois de vous exprimer toute ma gratitude pour me compter désormais parmi le panel de vois auteurs. Je ne laisserai pas passer cette opportunité pour mettre en valeur votre label dont le premier pas est un acte de philantrope, soit de publier à compte d’éditeur; ensuite il est significatif de constater votre célérité malgré votre volume de travail et il est certain que votre professionnalisme est évident. Un grand bravo pour toute la maison ! »
Ahmed Bencherif – Marguerite tome 2

« Pour vous dire combien j’ai été heureuse de lire que mon livre: »Pierre Tombale, où Aïda, la Rose qui se meurt, »vient d’être publié sur votre Site internet. Je sais que vous pouvez imaginer ma joie et celle de ma famille et ami(es). Je vous félicite aussi pour tout ce parcours assez dur quand même dirai-je.   Je déborde de joie depuis. Surtout lorsque j’ai visité votre site et que j’ai vu le livre, mon livre là en place et qui peut-être, qui sait! pourrait faire plaisir à des lecteurs. Vous avez réalisé mon rêve de jeune fille. Ecrire un livre! J’ai envie de crier ma joie et il m’a fallu, aller loin dans la « badia » avec des ami(es) afin de fair la folle et de crier ma joie pour arroser ce grand jour. Vous savez, il est des bonheurs qui sont éternels! Qu’ont ne peut les décrirent et qui palpitent tout le temps dés qu’ils prennent naissance. Alors, sachez le je suis heureuse. En attente de voir le livre en personne, je prends contact avec mes connaissances, jusque dans le pacifique et ma nombreuse famille en europe et aux Etats Unis, pour qu’il l’achète en ligne, et à la librairie. Ils attendent... »
Antônia Laura CAROLINA BARBOSA FORTES – Pierre tombale ou Aïda la rose qui se meurt