Livre

Sociétés secrètes et organisations mystérieuses

Sociétés secrètes et organisations mystérieuses

Par Daniel Hourès

Thème : Franc-maçonnerie

Date de publication : 30/11/2007

Les hommes ont toujours eu besoin de se regrouper en castes, clans, sectes, partis ou organisations, cherchant à se rassurer et à se conforter dans leurs propres idées et opinions qu'elles soient politiques, religieuses ou philosophiques. Un homme seul n'est rien et n'est pas dangereux. Dès que plusieurs personnes se congratulent et se complaisent dans une autosatisfaction, rien ne peut les arrêter dans leurs délires et tout leur est permis, allant même parfois jusqu‘à comploter pour prendre la place de ceux qu'ils considèrent inférieurs. Le but de cet ouvrage est de lever le voile sur certaines sociétés secrètes qui peuvent être véritablement initiatiques et sérieuses ou alors démoniaques voire meurtrières. Au lecteur de faire son choix.
  • Roman (134x204)
  • 208 pages
  • ISBN : 9782356071705
17,00 €
7,99 €
Papier
Numérique

Daniel Hourès

Biographie

Daniel Hourès

Daniel Hourès est journaliste et a déjà publié 41 ouvrages. Il est titulaire d'un doctorat en Lettres, sociétaire des Gens de Lettres, membre de la Société Académique "Arts-Sciences-Lettres" et également de l'Académie Européenne des Ars-France. Il a reçu la Palme de vermeil avec couronne de l'Encouragement Public (Arts et Lettres), la Médaille d'Argent "Arts - Sciences - Lettres" et la Médaille Européenne du dévouement civil et militaire pour l'ensemble de ses œuvres. Après avoir fait plusieurs fois le tour du Monde avec une "escale" de 10 ans en Bretagne, il a décidé de s'installer à Marrakech où il vit dans son Riad tout en continuant ses activités littéraires.

Lire aussi
Aucun article n'est associé à cet ouvrage.
 

Avis des lecteurs

L'auteur se moque du monde - 31/01/2012

J'ai fait l'acquisition de ce livre dans le cadre de recherches universitaires. J'investis les 17€ demandés en me basant sur le cursus de l'auteur qui semble faire de lui quelqu'un de crédible. La préface est rédigée et signée par l'auteur lui-même, qui parle alors de lui à la troisième personne. D'un point de vue formel ce n'est pas le seul souci, loin s'en faut. J'aimerais bien savoir quelle est l'université qui a osé donner un doctorat de lettres à Daniel Hourès, qui nous bombarde de tournures de type "le travail ne s'arrête pas là, car la véritable initiation si elle se fait par soi-même elle doit être sous le contrôle rigoureux d'un maître" (p.8) et de fautes d'orthographe dont le nombre fait frémir: "Marie-Antoinette compris cela" (p.118). On se demande si l'auteur a pris la peine de relire son bouquin. Sur le fond, c'est encore pire. Il y'a dès l'introduction un aveu de légèreté dans la recherche, l'auteur ayant "sélectionné les sociétés secrètes de manière arbitraire et un peu au hasard". On trouve dans ce livre, sans savoir pourquoi, une partie sur les chevaliers, le rôle de leur épée, leurs bonnes manières... Qui n'a rien à envier, certes, à un exposé de collégien, mais qui n'a pas sa place dans un livre sur les sociétés SECRÈTES. Pas traité de cette manière en tout cas. Une partie sur le prétendu occultisme de, sans majuscules dans le texte s'il-vous-plait, "adolf hitler", basé sur des postulats qui datent des années 50-60 et réfutés aujourd'hui par toute la communauté historique qui attribue plutôt le parcours mystique des nazis à Himmler. Une quarantaine de pages pour ces deux chapitres complètement fallacieux et/ou hors-sujet. La Maçonnerie et l'Opus Dei en revanche, sociétés secrètes par excellence, occupent respectivement onze et DEUX pages. Vous avez bien lu, deux pages pour l'Opus Dei, ce qui témoigne très bien de l'absence quasi-totale de recherche sérieuse, voire de recherche tout court, et du complet manque de respect de l'écrivain vis-à-vis de ses lecteurs. Les quelques parties qui pourraient être intéressantes sont hélas basées sur des exemples souvent complètement hors-sujet et qui tiennent de la superstition, l'auteur avouant à nouveau qu'on puisse "douter de la véracité de ces témoignages". Enfin, last but not least, l'absence TOTALE de bibliographie! Même pas le respect de mettre des notes de bas de page pour citer ses sources! Grandiose pour quelqu'un qui se dit journaliste! On apprend à faire cela en 4ème année de faculté! Bref, c'est bien beau de se dire journaliste, docteur en lettres, membre de sociétés académiques, et de se vanter d'être médaillé et palmé pour ses oeuvres en quatrième de couverture (je passe sur l'utilité de mentionner à cet endroit qu'il vit dans un riad à Marrakech). A ces gens qui passent leurs vies à courir après les titres, et dont Daniel Hourès se fait le parangon, je n'ai que ceci à dire: les honneurs ne font pas le talent.