Biographie
GIELTE 146 (Jean TOPAZZINI)
GIELTE 146 de sa vraie identité Jean–Louis TOPAZZINI d’où la pro-nonciation : Gi.el.té Plasticien-musicien.
Assigné à résidence nationale durant des semaines avec une heure de promenade quotidienne en errance d’un km. Le laissez-passer daté et signé bien en poche comme à la belle époque de 39/45. Digne sensation d’être un prisonnier politique comme pour des millions de français entre Victor Hugo et Napoléon. Profitant de cette situation, le détenu n°146 en a profité pour ouvrir sa malle de manuscrits, d’idées, de porte-folios en attente de réalisation. Ca ne nourrit vraiment pas, certes, mais cela renforce la joie de survivre. Sérial déclic est le 3ème écrit après Confettis et Mensonges d’été. Commencé en 2012. Oublié puis repris en 2020. On retrouve l’intérêt pour l’image photographique de l’auteur, son regard sur les humains, les voyages, en vrai ou en rêve. Ce qui nous amène à une mise en abîme sur un personnage d’apparence sympathique. Seulement voilà , l’enquête révèle peu à peu son univers bien immoral cependant généreux. Se prendrait-il pour un ‘Robin des sous-bois’ ? Un Lupin plutôt ‘l’arsouille’ ? Doit-on le juger ou se méfier des vieilles dames tirant leurs caddies comme on tire un caniche usé des patoches ? Il y en a plein les trottoirs même ici en Normandie où l’auteur réside… et pourtant !
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