Rêveries - I

Sur fond de confrontation du bien avec le mal, par l’entremise des Rêveries I, l’on évoque les circonstances du vécu terrestre de l’homme. L’on se penche sur ce qui touche à l’action et à la sentimentalité humaine. L’on fait état des vicissitudes ou des joies pouvant meubler son quotidien. L’on s’interroge, du reste, sur la nécessité ou sur la frivolité de certains actes posés par des hommes ou des femmes, des administrateurs ou des administrés, de bonnes ou de méchantes gens, des gens mentalement lucides ou des déments. Louant les faits bénéfiques, l’on fustige avec véhémence et sans bonhomie les agissements insignifiants. Tout cela, non point pour juger – plate besogne – mais plutôt pour susciter l’éclosion en l’homme d’une propension à la bonne sentimentalité. Sont également abordées, dans cette fresque, des thématiques abstraites tout aussi significatives, appréhendées sur le plan pratique.
Quant aux récriminations, s’il se trouve que ce discours en est pavé, elles visent moins la culpabilisation gratuite que le désir de voir l’homme agir pour l’exaltation du bien. Enfin, Rêveries I est une sorte de rhapsodie, prélude à l’avènement sous le soleil de l’Homme glorieux !