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Éditions Edilivre
Rencontre avec Pierre NICOLAS, auteur de « Le Retour de Constantin »
Présentez-nous votre ouvrage
Mon roman se déroule en Slovénie dans le cadre étonnant de la presqu’île de Piràn. Nous y suivons la convalescence d’un ingénieur de trente-sept ans, seul survivant d’une explosion accidentelle ayant pulvérisé son laboratoire, un an plus tôt. Après des mois d’hôpital et une sérieuse dépression, Constantin débute sa convalescence au nord des Balkans, région victime, comme lui, d’un terrible traumatisme. La résurrection mentale, et affective de Constantin sera facilité par des rencontres dont celle d’une étrange petite voisine se déplaçant en fauteuil roulant. Les Balkans se remettent difficilement de leur traumatisme. Constantin pourra-t-il, s’affranchir du sien ?
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pour partager, au travers d’une fiction la découverte de lieux, de situations, d’une part, des questionnements sur l’incroyable complexité des individus et leurs potentiels, d’autre part. Les informations que j’enregistre s’amoncellent, certaines finissent par se recouper, s’organiser, formant un espace ou s’engouffre mon imagination.
À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Aux lecteurs pour qui la curiosité n’est pas un vilain défaut, qui aiment s’embarquer dans une aventure, découvrir ces lieux et situations improbables qui nous côtoient pourtant si souvent.
Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Le message ? S’arrêter, regarder, essayez de comprendre, partager et profiter, cela évite quantité de médicaments.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Partout, tout le temps. Lors de conversations en famille ou avec des amis, lors de rencontres, de voyages, lorsque je suis témoin de situations inhabituelles, en regardant le journal télé, des documentaires… J’essaie de toujours avoir un crayon et un carnet à portée de main.
Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Actuellement, j’écris, un troisième roman qui se déroule au cœur de Paris. Nous y suivons une très jeune femme, diplômée mais au chômage, victime de malchances successives dans sa recherche d’emploi. Pourvu qu’elle y arrive !
J’avais déjà publié un premier roman « Turbulences au Sidobre » chez un autre éditeur. « Le retour de Constantin » est donc mon second roman. Je songe aussi à un recueil de nouvelles qui exploiterait la multitude de notes et de bribes de récit engrangés depuis des années.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
Un seul… ? LISEZ !