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Interview écrite

Rencontre avec Madeleine Wibart-Flahaut , auteur de « Quand le Vers gai rit »
2 janvier 2018
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec Madeleine Wibart-Flahaut , auteur de « Quand le Vers gai rit »

Présentez-nous votre ouvrage

Des textes poétiques à vocation philanthropique humaniste philosophique dans une transfiguration constructive du réel par la pertinence historique d’un phrasé vers la profondeur de la réflexion pour la quête sinon l’obtention du bonheur La créativité du langage semble explorer de plus ou moins sublimés canaux pour obtenir enfin la compréhension du tremplin d’un texte de ressentis sur les curiosités religieuses gréco-romaines et picardes des hauts de France.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Pour alléger la charge de mon entourage d’être plutôt embêté devant notre iceberg littéraire devenu Mémorial et soumis à la dévastation dans l’éloignement du fil directeur et critique de notre Esprit qui tisse au-devant de la mort de plus en plus visible un plaisir un désir de toile comme celle d’une tente cabane tabernacle de sainteté dans notre royaume d’ici-bas.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

A tous ceux chacun plus ou moins ami à qui je veux toujours enseigner une philosophie une expérience du bon usage de notre liberté Plus particulièrement aux lecteurs qui voudraient renouer avec la poésie la littérature et la foi en un monde meilleur qui dès l’Antiquité veut en finir avec la guerre vers la réconciliation avec un dieu accessible à la beauté au bien et à la bonté. Les grandes guerres meurtrières se résolvent finalement en des pétards d’explosion après leurs horribles tueries alors que l’irrespect de la nature  fait feu de tout matériau quand dans l’Antiquité les temples se construisaient encore en bois dans les forêts où les oracles se rendaient. Aux contempteurs de l’excellence de l’enseignements des Langues Anciennes Latin Grec Ancien et Humanités quand les religions polythéiste et monothéiste s’attribuent le rôle de protéger la nature de la préserver en la divinisation de ses arbres ses fleurs ses sols ses fontaines ses cours d’eau mais surtout de l’homme Christ en un Dieu Confiance de l’être humain  dont les mythologie légende  histoire nous font toujours rêver empreintes de la naïveté de la fraîcheur de l’aube des recherches scientifiques.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Comme Ernest Prarond politique maire historien poète du XIXème s un hommage à Abbeville qui n’est pas en latin mais qui fait référence à l’enseignement du latin et du grec ancien des sources du meilleur humanisme. Dieu et Jésus-Christ appellent  une religion une philosophie où tout et chacun a une place du plus faible au plus fort se tient en harmonie coopérant. Nous écrivons  le désir de peindre quand l’amour vole au secours du monde pour que le sens de l’usage de notre liberté dérive dans le plus que de l’Art puis nous peignons le désir d’écrire quand la fidélité de la traduction verbale nous fascine nous émerveille vers l’écrit.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Dans nos études  professorat  expérience pour le goût de la Recherche notre altruisme sinon notre attention à l’autre quitte à nous oublier même avec la peine de nous retrouver ce qui semble intéresser heureusement néanmoins au plus haut point notre personnalité romantique symboliste baroque classique positiviste allégorique surréaliste dramatique  naïve comique en quête de conciliation des contraires pour la progression logique  cosmique de notre esprit de médiation de dépaysement de voyage et de pacification .philanthropiques

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Le prochain :1) « Des Rois ces oiseaux thérapeutes », 2) Un accouchement, 3) Un grand journal de bord conciliant d’anciennes poésies avec un récit littérairement journalistique qui les lie, 4) Une histoire que j’aurais aimé éviter, 5) Des calligrammes et Autres, 5) Point de vue sur le jumelage Abbeville-Argos.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je leur souhaite d’aimer ce livre comme les sciences humaines comme leurs enseignants comme des directeurs de conscience de ne pas s’arrêter au pied de la montagne mais au contraire de l’aborder à coups de piolets car des enseignements apportant des connaissances qui semblent éloignées de nos problématiques forment aussi plus que d’autres l’esprit et le désir de voir de l’autre côté le complément d’une autre vérité.