Interview écrite

Rencontre avec Valentin Debacker, auteur de «Dans les ténèbres…»
1 février 2017
Posté par
Flora

Rencontre avec Valentin Debacker, auteur de «Dans les ténèbres…»

Valentin Debacker EdilivreDans quelle région habitez-vous en France ? Sinon, dans quel autre pays ?

J’habite dans le Languedoc-Roussillon mais je passe le plus clair de mon temps dans le PACA, notamment dans la cité papale où je fais des études d’histoire. Avignon est une ville magnifique… et j’ai la chance d’habiter juste à côté.

 

Présentez-nous votre ouvrage

Un homme se réveille dans un endroit qu’il ne connaît pas. Pire : il n’a aucun souvenir… seulement qu’il a une fille et que celle-ci se nomme Béatrice. Après plusieurs péripéties il va se rendre compte qu’il se trouve dans un véritable enfer et que les lieux qu’ils arpentent ont un rapport avec son passé qu’il essaie tant bien que mal de comprendre.

 

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

En 2014, j’ai eu l’idée d’écrire une saga, un peu comme « Chair de Poule » ; où les tomes n’auraient aucune chronologie. Il devait y avoir un « monstre » dans chaque tome. Néanmoins, je ne me sentais pas prêt à écrire quelque chose d’aussi… délicat selon moi. En effet, depuis ma plus tendre enfance, je ne vis que des aventures fantastiques (avec un peu de science-fiction aussi)… mais je ne m’étais encore jamais lancé dans l’horreur, le drame, la psychologie. Considérez « Dans les ténèbres… » comme un essai, un brouillon de la très longue saga qui suivra dans les années à venir…

 

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Je dois bien vous l’accorder : certaines scènes sont délicates. C’est pourquoi je pense que seuls les lecteurs avertis peuvent entreprendre de vivre cette aventure aux côtés de David Walker (narrateur du roman).

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Dès la première page, et jusque la dernière, on doute de la véracité des visions de notre « héros ». On se demande s’il est fou ou si ce qu’il voit est réel. Je pense que le premier message que j’ai voulu transmettre était : à quel moment peut-on dire qu’on est fou ? Et également : quels sont les processus qui font qu’on devient fou ? Jusqu’où pouvons-nous aller dans un ultime élan de désespoir ?…

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

Ça dépend des romans que j’écris. En ce qui concerne « Dans les ténèbres… », je me suis grandement inspiré du jeu vidéo « Amnesia : the dark descent » pour la diversité des lieux, la psychologie du narrateur. Sinon, de manière générale, je m’inspire de films, d’affiches et de jeux vidéo.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

En vérité, j’ai déjà des projets pour au moins vingt ans ! J’ai en ce moment même un long roman qui attend encore un éditeur (je suis censé recevoir encore quelques réponses). Et celui-ci fera partie d’une trilogie basée sur l’univers du jeu vidéo et de ses complications dans un monde où l’immersion complète est devenue possible et ne connaît aucune limite.

J’écris également une romance fondée sur ma propre expérience. C’est l’histoire d’un étudiant qui part faire ses études à l’étranger. Le lecteur sera plongé dans la même léthargie que lui. Mais j’ai rencontré une immense difficulté : comment écrire une romance avec uniquement une seule personne ? Car bien évidemment sa copine sera présente, mais par le biais de nombreux flashbacks.

Ensuite, j’ai l’intention d’écrire une longue saga dans l’espace nommée « ShiningStars ». Ce sera certainement une histoire similaire à « Star Wars » ou encore « Star Trek » ; mais avec plus de robots.

Enfin, je vous ai déjà parlé précédemment d’une série de livres centrée sur des « monstres ». Je pense l’appeler « Les créatures de Bâlmürr » et faire en sorte de plonger le lecteur dans une atmosphère glauque et pesante… !

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Qui que vous soyez, où que vous soyez ; je vous remercie d’avoir lu cette interview jusqu’au bout ; de m’accorder un peu de votre temps et, éventuellement, de lire mon roman. C’était mon rêve de publier un livre, quelle que soit la maison d’édition qui m’accepterait. Et je remercie EDILIVRE de la chance qu’il m’accorde.

N’hésitez pas à me faire part de vos impressions et de poser vos questions. Je suis joignable sur ma page auteur Facebook : « Les écrits de Valentin » et également par mail sur « valentin.debacker@hotmail.fr ».

Parlez-moi également de vos projets et surtout : continuez à écrire, car les livres sont la meilleure invention humaine à ce jour…