Rencontre avec Stéphane AGUILERA, auteur de « Les vies suspendues »

Présentez-nous votre ouvrage.

Ce roman « Les vies suspendues » relate une rencontre, celle de Paul et de Madeleine, de deux êtres singuliers se conjuguant au pluriel, d’un possible se dessinant devant eux.

Ce livre parle du hasard, ou plutôt de l’absence de celui-ci.

Le hasard n’existe que pour les inquiets…

 

Pouvoir avoir écrit ce livre ?

L’évidence d’un texte qui s’est imposé à moi, à un moment où l’écriture s’est avérée salutaire. Comme pour beaucoup d’auteurs,  prendre la plume a été un moyen de tromper l’ennui et de sublimer un quotidien en « pause ».

 

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

A toutes les âmes sensibles qui souhaitent accompagner ces personnages dans la quête de leur histoire, de la nôtre en quelque sorte.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Rien n’est décidé à l’avance, tout est une question de choix et surtout de notre capacité à assumer. Il n’y a pas de déterminisme préétabli,  de destinée décidée à l’avance par notre patrimoine familial et culturel.

Sans le « je », il ne peut pas y avoir de « nous ». On peut et on doit être responsable de notre chemin de vie.

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

A la base, je suis un instinctif, un sensitif et mon écriture en est la résultante.

Visuelle, elle se nourrit de la musique essentiellement. D’une mélodie, d’un phrasé musical, un univers se crée : je peux le voir, en distinguer les contours, sentir les odeurs, le ressentir.

A cela s’ajoute bien évidemment des rencontres, des échanges, des observations…

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Une suite à ce premier roman est d’ores et déjà envisagée, elle n’en est encore qu’à ses balbutiements.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

En espérant que ces « vies suspendues » vous transporteront le temps de la lecture et au delà…