Interview écrite

Rencontre avec Sara Diquelou, auteure de « Traduire l’invisible »
18 septembre 2014
Posté par
Flora

Rencontre avec Sara Diquelou, auteure de « Traduire l’invisible »

Sara_Diquelou_EdilivreD’où vous vient votre goût pour l’écriture ?
Mon goût de l’écriture me vient probablement de mon goût pour les choses assez belles pour être racontées.

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
« Traduire l’Invisible » est une œuvre contemplative, un voyage intérieur qui va de l’absence à la plénitude en passant par le baume pimenté qui éponge les maux du cœur au moment de prendre un nouveau départ.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pour pouvoir en écrire un deuxième !

Quel message avez-vous souhaité transmettre ?
Disons que j’ai voulu rendre lisibles les perceptions qui relèvent du domaine de l’invisible en utilisant des thématiques très vastes et en les précisant ( L’amour, la mort, le voyage..).
Ce n’est pas à moi de décider du message que je souhaite vous transmettre. C’est à vous de me dire quel message vous avez reçu en lisant ce livre ou dans quel état d’esprit vous êtes arrivés à la dernière page… On retient toujours quelque chose d’une histoire. Qu’avez vous retenu de celle-ci ?

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
La spontanéité et l’envie d’être lu.

Vos auteurs de référence ?
Walt Whitman. Mark Twain. Jack Kerouac. Goethe. Pablo Neruda.
Il m’aura fallu du temps pour comprendre ce que ces auteurs fabuleux voulaient dire lorsqu’ils parlaient d’amours dont on ne peut se défaire, de cascades d’aventures qui te donnent le tournis, d’exaltations si féroces qu’elles te collent aux tripes, si bien qu’on voudrait toujours rester dans leur lumière, dans leur sublime agitation, dans leur insondable folie.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je me suis lancée dans l’écriture de mon deuxième roman « Le bruit bleu des valises ». Je ne m’autoriserai à le publier qu’après cinq bonnes années de voyages afin qu’il prenne tout son sens.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Toi aussi tu peux atteindre des sommets. Il suffit de déposer des raisins où bon te semble. Il suffit d’accrocher des pommes à tes rêves.