Rencontre avec Sandrine Darkwood, auteure de « Belle et bien morte »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
C’est une histoire, une aventure. Rythmée, passionnée, troublante. L’héroine est attachante, touchante, drôle… Les personnages qu’elle va rencontrer sont étranges, mystérieux, beaux, sexy, dangereux… Ce roman est le genre d’histoire dont il est difficile de s’arrêter de lire, une fois que l’on a lu la première page !

Pourquoi avoir écrit ce livre ? 
Je l’ai rêvée cette histoire ! Elle m’a tellement plue que j’ai voulu quelle existe vraiment, surtout pour la raconter et la partager.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Cette histoire s’adresse à des femmes, car c’est une histoire de femmes avant tout mais il ne faut pas cliver ! Les hommes peuvent également prendre du plaisir à le lire… Des femmes qui aiment s’évader, rêver, et pourquoi pas fantasmer ?

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Il est transgressif, il ne suit aucune morale ! C’est un livre plaisir, une lecture facile, sensuelle, étrange et parfois amusante. C’est un moment de détente durant lequel on s’évade l’espace d’un instant.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
Lire c’est avant tout (pour moi, bien évidemment!) une source de plaisir et d’évasion, une expérience aussi sur le plan émotionnel ! Après tout, un bon livre vous fait ressentir des choses, vivre des émotions…

Où puisez-vous votre inspiration ?
Partout et nulle part à la fois ! Certes, c’est paradoxal mais c’est comme cela que je le définis. C’est une idée, une envie que je fais ensuite germer…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
En ce moment, je travaille sur un deuxième roman, mais pas Lily : j’avais besoin d’une pause avec elle… Toujours dans la même veine, mais le lieu n’est plus Paris et l’histoire est encore plus étrange. Mais je reviendrai sur un deuxième  » Belle et bien morte « , ça c’est certain ! Je pense d’ailleurs à une trilogie…

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Amusez vous bien en lisant du Sandrine Darkwood !
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