Rencontre avec Olivia Martens, auteur de « La Cinquième Lune »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
La Cinquième Lune est un roman fantasy où se mêle aventure, amour et pensées sur le monde d’aujourd’hui, par exemple, le fait de rejeter les personnes qui ont ou qui font des choses qu’on ne comprend pas.

Pourquoi avoir écrit sur un monde imaginaire ? Le monde des sorciers vous fascine-t-il ?
Le fantasy est, pour moi, un moyen de m’évader. Il me permet aussi de faire passer les messages que je veux énoncer d’une manière détournée. J’ai toujours été attirée par la magie, les sorcières, les faits imaginaires… Et les légendes ! D’ailleurs, je pense souvent que les légendes ont une base de vérité, qu’elles ne sont pas totalement fausses. Et puis, ça fait rêver !

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
J’aurais tendance à dire que mon ouvrage est plus destiné aux adolescents, mais pas vraiment. En fait, je pense que tout le monde peut lire du Fantasy, ce n’est pas un genre qui est ancré dans une limite d’âge, comme de 7 à 77 ans ! Ceci dit, je ne pas sûre que les personnes âgées vont être attirées par ceci, mais pourquoi pas, après tout ?

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
J’imagine que citer des qualités est quelque chose d’assez subjectif en soi. Si je dis que la principale qualité du mien, c’est la manière dont il est écrit – ce qui est juste – quelqu’un d’autre pourrait dire le contraire ! Néanmoins, si je devais en citer quelques unes, j’évoquerais sans doute, comme dit plus haut, la manière dont je l’ai écrit, ainsi que l’humour qui s’en dégage assez facilement, surtout lorsqu’on prend le temps de s’imaginer certaines situations !

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
Aucun spécialement. Cependant, lorsque certains thèmes sont abordés, comme le rejet avec le vampire, ou les médias avec les journaux qui en font toujours de trop, je mets un petit message, soit dans le chapitre en lui-même, soit en fin de chapitre.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Un peu partout, je dois l’avouer. J’en parlais avec quelqu’un récemment : un jour, j’ai vu quelque chose dans la rue, j’ai sorti mon portable et j’ai noté cette scène avec les faits en rapport avec mon livre. J’en rêve, souvent, aussi. Alors, au matin, je me rue vers la moindre chose me permettant d’écrire, et je l’y inscris. Il ne faut pas non plus mettre de côté les séries fantasy et fantastiques qui m’inspirent.

Vous êtes jeune, quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Déjà, la suite de cette saga ainsi que mon recueil de poésie qui est sorti il y a peu. Après, j’ai encore plein d’idées en tête ! Un livre avec une famille royale – fictive –, peut-être une autre saga, un recueil de nouvelles,… Je suis jeune, certes, mais j’ai des milliers d’années d’écriture dans ma tête !

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Merci d’être là, car sans vous, la magie n’existerait pas ! C’est grâce à vous que les histoires se créent. C’est vous qui les faites vivre. J’espère de tout coeur vous faire partager encore tout un tas d’histoires ! Merci pour tout.