Interview écrite

16 février 2016
Posté par
Guillaume

Rencontre avec Magali Déa-Feschotte, auteure de « Heureux qui, comme Agathe… »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

photo : Bruno Tiphaine

Dans quelle région habitez-vous en France ? 

Je vis dans un joli petit village du Vexin, à 50 kilomètres de Paris, en direction de Mantes la Jolie.

Présentez-nous votre ouvrage ?
Ce roman, résolument optimiste, cherche à démontrer que des vendanges même tardives (l’héroïne a 90 ans) peuvent encore générer bien des satisfactions pour qui sait rester en éveil, quels que soient l’âge et la condition de son interlocuteur.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
J’ai décidé de réunir pour la première fois deux de mes passions : la prose et la versification. Les faire vivre côte à côte s’est avéré pour moi un véritable défi. Mais, quand on aime les mots comme je les aime, c’est un vrai bonheur de sauter d’un genre à l’autre, tout en essayant de préserver une certaine harmonie. J’espère y être parvenue !

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Je pense que ce roman s’adresse à tous ceux qui, à un moment ou à un autre, ont des baisses de forme, des découragements, des doutes… Tout âge peut être concerné ! Et, pour recharger ses batteries pourquoi ne pas essayer de se plonger dans une lecture positive !

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Le message est on ne peut plus simple. L’observation, l’écoute, la tolérance et l’amour sont vraisemblablement les clefs de la sérénité. Mais faut-il encore leur accorder une place, quitte à les provoquer parfois, mais surtout à les cultiver jour après jour.

Où puisez-vous votre inspiration ?
La vie de tous les jours et les expériences plus ou moins heureuses des uns et des autres, y compris les miennes, sont d’inépuisables sources d’inspiration. Il ne me reste alors plus qu’à choisir les sujets sur lesquels j’ai envie de m’attarder un peu plus longuement.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Dans mon prochain roman, c’est une petite chienne qui prend la parole et qui se moque gentiment du monde des humains, y compris de sa maîtresse, même si elle l’aime profondément.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Mon dernier mot sera un vœu : que le lecteur prenne autant de plaisir à lire ce roman que j’ai eu de joie à l’écrire !