Interview écrite

7 février 2020
Posté par
AA Victoria

Rencontre avec Lord Junior MAZOKI, auteur de Mùkolù

Présentez-nous votre ouvrage

Mùkolù est une œuvre qui relate une fabuleuse histoire, qui se déroule en Afrique dans un petit village nommé Mambe. Un village épique, riche d’un passé glorieux, mais dont la nature révèle bientôt des mystères endormis. C’est une pure balade littéraire entre culture africaine, réalités mystiques du continent et déboires quotidiens.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’ai d’abord écrit cette œuvre pour me faire plaisir. Car, je suis un passionné de l’écriture. À chaque fois que je gratte, je le fais avec amour. Ensuite, je l’ai également écrite dans le but de rappeler au monde, que l’Afrique est riche de nombreuses réalités qui inspirent la fiction.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Il s’adresse à tout type de lecteur. C’est une œuvre qui mets en lumière certains aspects cachés de l’Afrique. En l’occurrence l’aspect mystique. Mais pas que. D’où le titre « Múkolù » qui se traduit par : la nuit. La nuit, comme d’une part pour annoncer le malheur. Mais aussi pour révéler ce qui se cache sous son aube sombre et épaisse.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Le message que je cherche à transmettre à travers cette œuvre est celui selon lequel, l’Afrique est malade de certaines pratiques qui aujourd’hui encore détruisent des familles et l’avenir de notre continent. Et que sa richesse culturelle et spirituelle n’est certes plus à démontrer, mais que le mauvais usage de celle-ci constitue une boîte de Pandore.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je puise mon inspiration dans les réalités quotidiennes. En ce sens, l’Afrique est une source d’inspiration exceptionnelle.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Mes projets d’écriture pour l’avenir sont relativement simples. Tout d’abord, Je compte bien continuer de dépeindre le quotidien.  Puis au bout d’un moment, je me contenterai de rédiger par la suite des œuvres typiquement philosophiques.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Juste leur demander d’aborder cette œuvre avec une très grande ouverture d’esprit. Sinon, ils passeraient à côté du meilleur. Car, Mùkolù est un contact à mains nues, avec les profondeurs de l’Afrique.