Interview écrite

17 juin 2016
Posté par
Guillaume

Rencontre avec Lagonzalaise, auteur de « Calembredaines »

Où habitez-vous ?
 Vous me trouverez dans ce charmant petit pays situé au nord de la France et qui se nomme « Belgique » ; pour plus de précisions, cherchez-moi à Bruxelles, ou mieux encore, dans notre belle commune d’Ixelles.

Présentez-nous votre ouvrage
Il s’agit d’un recueil de fables et de poèmes. Dans ces contes : des animaux connus, et d’autres moins habituels, se promènent, narrant des histoires pas toujours très conventionnelles.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
« Calembredaines » s’inscrit dans une suite logique de mon précédent ouvrage « Sens dessus dessous » , dans lequel déjà, des protagonistes de toutes sortes peuplaient des contes peu banals, le tout agrémenté du style incongru du limerick, de l’allitération entrecoupée de poésies.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Ce livre s’adresse à toute personne désireuse de découvrir un autre genre de littérature ; un esprit libéré, une humeur joyeuse, un monde pétillant.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Je ne passe pas de message, mais je souhaite une seule chose au lecteur ; qu’il ressorte de ces récits le sourire aux lèvres.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Inspiration… la réponse est dans ce mot, c’est une phase de la respiration, on inspire ensuite, on expire, la marche stimule l’imagination. Pour ce faire, je choisis un trajet coutumier, un chemin que mes pieds connaissent par cœur, le rythme s’installe, la cadence est régulière, mon esprit alors peut échapper à tout contrôle. Pour moi, ce sont soit des images qui s’incrustent dans ma tête et je leur donne des mots, ou bien le contraire, une phrase s’impose et un monde se dessine tout autour. Ce sont des moments agréables et les plus savoureux se déroulent en forêt durant la promenade d’Hippolyte, mon grand gamin poilu à quatre pattes.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je pencherai pour un recueil de nouvelles, sans doute illustré par mon frère Elmaik Halaiz, mais… chut ! Surprise.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Gardez le sourire, cela vous va bien.