Rencontre avec Kara Loris, auteur de « Les disparus de Central Park »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
 » Les disparus de Central Park «  est le premier tome d’une série d’aventures qui assoie thriller et fantaisie urbaine. Cette première intrigue est inspirée de deux nouvelles que j’ai écrites il y a plusieurs années et que j’avais envie de développer séparément au départ. Elles ont fini par se rencontrer pour former ce premier livre, d’où la mixité des personnages. Ce premier tome se déroule exclusivement à New York, une ville grandiose et multi culturelle. La ville idéale pour y faire naître quantité d’histoires.

Pourquoi écrire des nouvelles fantastiques ? La réalité vous ennuie-t-elle ?
Adolescente, je me suis prise de passion pour la collection Spectres (Hachette) ; j’avais tous les titres et j’attendais avec fébrilité les dernières éditions. J’ai commencé mes premières nouvelles sur une vieille machine à écrire mécanique. Je devais avoir 10 ou 11 ans… Aujourd’hui, mes auteurs fétiches sont Jules Verne, de Maxime Chattam et d’Henri Loevenbruck. Pour ces deux derniers, c’est probablement à mes premières lectures que je le dois. Pour ma part, la réalité ne m’ennuie pas plus que cela mais elle n’a pas cette malléabilité que possède l’Imaginaire. Elle impose des barrières quasi insurmontables aux plumes des rêveurs. En définitif, la réalité à des limites que le fantastique n’a pas.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
De 7 à 77 ans dès l’instant où l’on apprécie de ne pas garder continuellement les pieds sur terre et que l’on apprécie autant les thrillers que le fantastique.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Dans la réalité justement. Ensuite je la modèle selon mes envies.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Le second tome des aventures de Lilhandra Young,  » Anamorphose « , est en cours d’écriture. Un second projet, plus « adulte » mais toujours dans la trame du fantastique, est en cours. Sinon, je continue à écrire quelques nouvelles.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
J’espère avoir un retour de leur part concernant ce premier ouvrage. Leur avis est primordial pour moi, même si cela me fait un peu peur car il faut reconnaître que ce premier livre est né dans la douleur. Et s’ils ont des questions, je serais ravie d’y répondre.