Rencontre avec Isabelle Leymarie, auteur de « Billevesées cosmopolites »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots.
« Billevesées cosmopolites » est une fantaisie, qui traduit mon amour de l’humour, des langues, des mots et, en particulier, des jeux de mots.

Pourquoi avoir écrit ce livre, qui contient des écrits sous de nombreuses formes ?Parce que j’en avais envie. Pourquoi Beethoven composait-il ? Pourquoi Nijinski dansait-il ? Pourquoi Victor Hugo écrivait-il ? Pourquoi Picasso dessinait-il ? Non que je me compare à ces grands artistes, loin de là, mais les idées, lorsqu’elles surgissent, s’imposent à vous.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
À celui qui aura envie de le lire !

Comment s’est fait le choix de votre couverture ?
Je me trouvais à Naples avec un groupe de gens qui écoutaient la péroraison d’un guide. Pendant ce temps-là, mon œil fut attiré par ces chiens qui jouaient. L’un était noir, l’autre marron, le troisième blanc, exemple parfait de cosmopolitisme, d’entente cordiale entre les races et de billevesées.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
Aucun. Je n’ai pas la prétention de transmettre des messages. Je m’amuse en écrivant.

Où puisez-vous votre inspiration ?
God know where – Dieu seul le sait.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je suis en train d’écrire un livre qui s’appelle « Impressions ». Ce sont des impressions, tantôt fugaces, tantôt pérennes, de lectures, de paysages, de musiques, de conversations.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Continuez de cultiver « ce vice impuni la lecture », comme disait Valéry Larbaud.