Rencontre avec Ibrahima Bangoura, auteur de « De l’altruisme aux larmes »

Dans quel pays habitez-vous ?
J’habite à Conakry (République de Guinée).

Présentez-nous votre ouvrage ?
C’est le récit d’un homme qui va subir d’énormes difficultés dans sa vie, la déception de son neveu qui vit sous son toit et qui va cambrioler son magasin avec des bandits à mains armées pour satisfaire l’amour démesuré pour une jolie et resplendissante jeune demoiselle. Déchu et inquiet pour son avenir, il rencontrera un ami d’école qui l’aidera à intégrer le travail d’une usine où il sera séduit à son tour par les charmes irrésistibles de la belle Samou et puis de Manta jusqu’à être contaminé par la maladie d’ébola , une maladie sans pitié, l’une des plus sévères de toutes les autres maladies que le pays n’en a jamais connues, qui sévit et fait des ravages en vies humaines dans tout le pays. Ce livre met un accent particulier sur l’éducation des enfants, le pardon envers les autres et met à nu les péripéties et les conséquences d’un forcené de l’amour.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pour être lu et défoulé ma passion d’écriture, promulguer de sages conseils aux gens à travers mon livre.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Il s’adresse en général à toute personne qui vit en société avec les autres.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Un homme philanthrope n’a rien à perdre si son acte vient au tréfonds de son cœur et que l’amour est la seule ou unique voie pour atteindre ce degré d’humanisme.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Je m’inspire des faits quotidiens de la vie en société. Dès fois, j’imagine des anecdotes que je tente de relater en créant des personnages fictifs qui réalisent les actions tout au long du récit.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
J’ai trois autres livres que je souhaite publier dans les jours à venir : le premier est déjà fini, je le soumettrai bientôt au comité de sélection d’Edilivre, le second est en instance d’écriture et un recueil de poèmes. Je souhaite être un grand écrivain et poète à travers le monde littéraire à l’instar de Victor Hugo, Théophile Gautier, Charles Baudelaire, Gustave Flaubert, Aimé Césaire, Mongo Béti, Ahmadou Kourouma et de mon frère puis compatriote Thierno Monénenbo qui s’est taillé une part de lion parmi les grands écrivains littéraires de son temps.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Quant aux lecteurs, je les exhorte à jeter un petit coup d’œil sur mon oeuvre et par avance, je les remercie d’avoir eu le courage et la curiosité d’avoir lu un livre écrit par un inconnu.