Interview écrite

Rencontre avec Florence Garel, auteur de « Le Jardin de l’horreur »
14 novembre 2014
Posté par
Flora

Rencontre avec Florence Garel, auteur de « Le Jardin de l’horreur »

Florence_Garel_EdilivrePrésentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
C’est une nouvelle d’une vingtaine de pages. Elle met en scène un jeune lycéen, Tomas et son ami le Docteur Ellington. Ils se retrouvent entraînés dans un jardin à l’étrange réputation. C’est une histoire d’horreur. Je l’avais écrite, à l’origine, en participant à un concours littéraire. J’ai eu envie ensuite qu’elle soit publiée.

Lisez-vous vous-même des romans fantastiques ou d’épouvante ?
J’adore les romans fantastiques ou d’épouvante. Je suis fan des romans de Stephen King, plus particulièrement « Sac d’os », «Misery », « la Ligne verte » et « Simetierre ». J’aime aussi les livres de Graham Masterton, Clive Barker, Dean Koontz, Ramsey Campbell. J’ai lu toute l’œuvre complète de Edward Phillips Lovecraft. J’apprécie aussi de relire les œuvres d’Allan Poe. J’ai lu aussi quelques livres de James Herbert. Et pleins d’autres. Je suis toujours ravie quand je tombe sur un nouveau roman d’épouvante ou de fantastique. Je les dévore encore et encore.

D’où vous est venue l’idée qu’un jardin puisse être un lieu de terreur ?
J’ai d’abord pensé à un cimetière mais je me disais que se serait un peu cliché. Les jardins ont toujours été des endroits fascinants. Je trouvais intéressant de faire de ce refuge ou havre de paix un lieu de peur.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Ce livre s’adresse à tout le monde, aussi bien aux fans de terreur qui aiment avoir la frousse, qu’aux dévoreurs de livres en tous genres ou aux curieux. Peut-être pas aux plus petits, mais ils peuvent bien essayer, s’ils en ont l’envie. Tout le monde peut lire cette nouvelle, à condition de ne pas oublier où ils mettent les pieds. C’est une histoire d’horreur.

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Les personnages ont chacun leur caractère et leur personnalité. Je pense qu’ils ne sont pas stéréotypés. Ils ont leurs forces et leurs faiblesses. Ce ne sont pas des êtres parfaits. Le déroulement et la construction de l’histoire a une bonne dynamique. La manière dont l’un des personnages montre sa vraie nature est bien amenée. Les personnages ne sont pas manichéens. Ils évoluent en fonction de ce qui leur arrive. Les éléments liés au genre fantastiques sont bien utilisés. Le monde « réel » dans lequel vivent les personnages est tout à coup envahi par des éléments surnaturels. On sent une certaine atmosphère dans l’histoire propre au genre épouvante.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
J’ai voulu dire dans ce livre que quelque soit les horreurs que l’on doit affronter, il est toujours possible de trouver la paix.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Et bien, il y a mon roman « Au-delà de la Peur » qui est terminé et qui devrait bientôt été publié. Je suis actuellement sur l’écriture d’un autre roman. Le titre est « La Chaire des innocents ». C’est un roman d’épouvante. Je ne vous en dirais pas plus.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Je leur souhaite de profiter de la vie et de dévorer autant de livres qu’ils veulent.