Interview écrite

Rencontre avec Evelyne Simoens, auteur de « Zora, chanteuse et guitariste d’un groupe rock »
28 juin 2017
Posté par
Flora

Rencontre avec Evelyne Simoens, auteur de « Zora, chanteuse et guitariste d’un groupe rock »

Evelyne_Simoens_zora_chanteuse_et_guitariste_rock_EdilivreDans quelle région habitez-vous en France ? Sinon, dans quel autre pays ?

J’habite en Belgique.

 

Présentez-nous votre ouvrage

‘Zora, chanteuse et guitariste d’un groupe rock’ parle d’une chanteuse d’origine chinoise qui a 28 ans. Une soirée chez des amis, un ou deux verres d’alcool, des rêves et une pointe d’ambition dans ses yeux noirs, … Zora rencontre Tristan à l’âge où tout est permis. Ils ont tous les deux un avenir prometteur. Zora travaille pour l’entreprise APIBORA, une industrie agro-alimentaire. Tristan, lui, un peu avant de rencontrer Zora, a été engagé dans une banque.

 

 

Pourquoi avoir écrit ce livre ? 

Je voulais parler de musique et du groupe Hasche dont Zora fait partie. Zora chante dans ce groupe. Les quatre membres sont musiciens amateurs. Ils ont fait des études et commencent leur vie professionnelle. Zora semble réussir tout ce qu’elle entreprend, elle sipose d’une sorte de perfection avec ses origines asiatiques. C’est à l’âge d’un an qu’elle arrive en Europe. J’aimais aussi relater une rencontre avec toute la magie que cela peut avoir.

 

 

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

 Peut-être un peu aux adolescents.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Une rencontre peut être banale et peut avoir aussi des conséquences importantes. Tu peux rencontrer celui ou celle qui sera ton mari ou ta femme, un dealer de drogue, un éminent scientifique, …le gourou d’une secte, un dirigeant africain comme Laurent Désiré Kabila ou encore bien d’autres personnes. A Bruxelles, toutes les rencontres sont possibles. Il y a un foisonnement de genres et d’individus. Pourtant la capitale reste une toute petite ville en comparaison avec d’autres cités d’Europe, et, surtout d’Afrique ou d’Amérique.

 

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

Dans notre triste paysage belge – triste par la pluie notamment et par la politique parfois ennuyeuse.

 

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je ne sais pas encore.

 

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Qu’y a – t -il de plus beau que le mystère, la rencontre, l’inconnu ?