Actualité Edilivre

22 mars 2022
Posté par
AA Victoria

Rencontre avec Evelyne Simoens, auteur de «40 ans et toujours belle»

Présentez-nous votre ouvrage.

Quand la séduction est un bien piètre mot. Quand on ne plaît plus, quand on n’a jamais plu.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

La souffrance, l’amertume, la douleur de ses proches et la sienne rendent l’homme à sa dimension; un être limité. Quand une certaine insoutenable légèreté imprègne la vie de l’homme, le couple, la famille est en désarroi.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Aux lecteurs qui s’intéressent aux relations conjugales et j’ajouterais que les évènements ‘arment’ l’homme. Les conflits, les nations qui explosent rendent l’homme tout à fait inconséquent. C’est là que la légèreté et d’autres valeurs ‘d’armes’ apparaissent. Ils sont habitués, tu me diras… Nous n’avons eu que les guerres mondiales, … Combien d’années se sont écoulées depuis?

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Le compliment. Le compliment répare l’injustice. Mais quand on va plus loin dans la mondialisation, que devenons-nous? Finalement, nous avions un Etat Protecteur qui n’était peut-être pas bien vigoureux mais quand tu te promènes et que chaque fois tu te fais insulter pour n’importe quelle raison, tu te dis que cela ne va pas. Quel est le moteur de ces insultes ? Et, in fine, à chaque moindre signe de convivialité de l’autre, t’attend ensuite un mauvais coup. Cela ne va pas. Quelles en est l’origine ? L’étau, les pressions sont dehors (en multitudes de services) et dedans. Voilà que la famille, valeur refuge est out. Finalement que reste-t-il de l’homme en société ? Un être seul qui lutte. Et même seul, on n’en sort pas.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Le manteau de fourrure que la femme a volé est un exemple montrant que l’épouse n’a que peu de marques d’affections de son conjoint. Pourquoi l’a-t-il choisie et épousée ? Finalement, il ne souhaitait pas celle alliance ?

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je voudrais écrire un livre sur la colonisation. Les colonies sont tellement loin de nous. Un passé de mixité des genres au niveau de population. Rousseau ‘le bon sauvage’. L’Inde, l’Algérie, et bien d’autres pays n’ont été que des colonies où chacun est retourné chez lui, à ses origines. Il y a l’exploitant et l’exploité, pour des raisons de pouvoir et de domination financière.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

La diplomatie en tous genres et merci. Le film américain ‘Dallas’ reflétait les oligopoles, les cartels et les puissances pétrolières américaines où chacun avait ses problèmes. De l’argent, certes, des grandes familles devenues rares en 2022. C’est là que l’on se tait, après les guerres mondiales par rapport à tes origines et ton appartenance. Trop de jalousies, l’argent aux mains de quelques-uns attire les conflits même armés (des corporations à aujourd’hui, un pas énorme).


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