Rencontre avec Emilie Pernoux, auteure de « Quand des murs chuchotent »

D’où vous vient votre goût pour l’écriture ?
J’aime lire et écrire depuis toute petite. Je passais des heures à lire. J’ai eu la chance d’avoir des instituteurs, une en particulier, à l’époque où l’on apprend à lire, qui m’ont donner le goût de la lecture. Ma famille aussi. J’ai toujours été entourée de livres. Il m’ont accompagné dans les bons et les mauvais moments de mon parcours.
Très jeune m’est venu l’envie, presque le besoin d’écrire. J’ai fait de nombreux poèmes depuis l’âge de 13 ans. Ceux-ci restent encore personnels. Mais j’avais envie d’aller plus loin et je me suis essayée à une petite nouvelle. La prochaine étape sera un roman, peut-être…

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
Il parle de la rencontre et de l’histoire d’une femme, que l’on devine, que l’on effleure… Dans un lieu pourtant commun une histoire est possible entre des êtres avec leurs blessures et leurs secrets…

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pourquoi écrit-on ? Vaste débat. J’ai écrit pendant un voyage de plusieurs mois, ça laisse le temps. Au départ, c’était surtout pour avoir un avis et puis j’ai été édité en autoédition. Un premier essai pour moi, j’ai encore beaucoup à apprendre.

Quel message avez-vous souhaité transmettre à travers votre ouvrage ?
Que notre chemin est fait de rencontres qui nous façonnent, nous font devenir. Mais qu’au bout du compte on garde les cartes en main.

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Pour un premier jet, une nouvelle était plus facile à mettre en œuvre, et je pense plus facile à appréhender pour les futurs lecteurs. La manière dont est écrite la nouvelle permettra à chacun de faire travailler son imaginaire et de faire vivre le récit.

Vos auteurs de référence ?
J’aime énormément d’auteurs mais entre autres : M.Chattam, Huxley, Grangé, Pancol, Doss, Kundera, Katzenbach, M.Malzieu,E.mmanuel Schmidt, Barjavel, Duras…..

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Un livre, bien plus long cette fois.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Soyez indulgents… ; )