Actualité Edilivre

21 juin 2019
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec Dominique Lézié, auteure de « les mots pAnseurs »


 

Présentez-nous votre ouvrage.

Les Mots pAnseurs proposent une réflexion sur la puissance de la communication, et les rapports humains qui en résultent. Ils questionnent sur la conscience que l’éducation nous en a permis.

 

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Ce livre constitue la synthèse d’un parcours professionnel mais surtout la nécessité de renouveler le rapport à l’autre, sans aucune prétention. Il me semblait nécessaire de placer l’éducation au centre de tous nos rapports quotidiens.

 

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Cet essai s’adresse donc à tous, bien au-delà d’une spécificité professionnelle apparente. Il tente, par un certain nombre de précisions et d’explications liées à l’expérience, d’ouvrir un débat avec le lecteur, quel qu’il soit.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Ces propos transmettent mais surtout espèrent une dynamique de lecture, qui renvoie chacun à lui-même et à l’autre dans une perspective de rencontre. Comme je l’ai indiqué dans mon résumé, et mon Avant-Propos, sans les mots, que sommes-nous ? Ce n’est pas un livre de thérapie, mais beaucoup plus humblement, un livre de conviction et de découverte.

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

Il ne s’agit pas d’inspiration, mais de témoignage, et de construction identitaire. Mon voeu serait que mon livre soit reconnu pour sa tentative de clarté, et non de vulgarisation et de schématisation, dont alors les connotations seraient un peu péjoratives.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Mes projets sont ceux que réserve la vie… Ma résistance comme ma détermination, devant les événements.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je souhaite vivement, profondément, que les lecteurs soient définis, concernés, autant que les auteurs… Je ne conçois pas de réelle différence entre les deux, seulement des rôles contrastés. Je propose ce livre comme un essai, au sens propre du terme.