Rencontre avec Blaise-Ocelot Mulumba-Ntambwe, auteur de « Le Regard d’un éclaireur »

Où habitez-vous ?
J’habite à Lubumbashi, en République Démocratique du Congo.

Présentez-nous votre livre
Le Regard d’un éclaireur est un livre des éclaireurs, c’est-à-dire des hommes qui possèdent la lumière et qui s’efforcent de la transmettre à ceux qui vivent dans le noir. C’est aussi un peu autobiographique car ça parle de ce que je suis et ce je fais. Je suis scout (éclaireur) et j’ai voulu partager ma lumière au monde ; cette lumière est ma façon de voir le monde et son évolution.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Au début je ne savais pas pourquoi j’écrivais, parce que je me plaisais à construire des phrases-pensées en jouant avec des mots. Avec le temps j’ai compris pourquoi j’ai commencé à écrire. J’ai écrit ce livre pour sauver le monde en communiquant les bonnes valeurs.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Mon ouvrage s’adresse d’abord à toute l’humanité sans exclusion, et particulièrement à tous les hommes généreux, charitables ; aussi à ceux qui n’ont pas de cœur afin qu’ils changent.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
J’ai voulu transmettre une vision paradoxale de l’Homme sur le monde et ses composants. J’ai voulu dire l’humanité d’être charitable face à tout le monde sans discriminations, sans préjugés, sans classeur ; car ce sont les blocages du développement universel.

Où puisez-vous votre inspiration ?
A l’état normal je ne peux rien noter, il suffit que je sois anormal pour savoir écrire et avoir de quoi écrire. Ce sont les inégalités de la vie qui m’inspirent (par exemple : les discriminations, les préjugés, les déceptions, etc.).

Quels sont vos projets d’écriture ?
Je compte diversifier ma plume en m’en volant vers la tragédie, les romans, les nouvelles, les pensées. Je compte participer à des concours et salons littéraires.
D’ici quelques jours sera publié toujours chez Edilivre un recueil de poésie un peu panafricain. Ce sont là mes projets en bref.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Pour qu’une œuvre vive et survive, il faut qu’elle soit consommée ; j’invite tous mes lecteurs à mieux consommer ‘‘Le regard d’un éclaireur’’. Leur façon de consommer va m’encourager. Je reste au service de l’humanité à travers ma plume.

Grand merci aussi à Edilivre qui m’a permis de réaliser mon rêve d’écrivain !