Interview écrite

19 janvier 2016
Posté par
Guillaume

Rencontre avec Andreas Collins, auteur de « Salendar, le mythe d’Erabus – Tome I »

Dans quelle région habitez-vous en France ? Sinon, dans quel autre pays ?
J’habite en France, dans le Languedoc-Roussillon, plus précisément dans le Gard.

Présentez-nous votre ouvrage ?
« Salendar, le mythe d’Erabus » est une série d’ « Heroic Fantasy » comprenant  cinq volumes. A travers eux, nous découvrons l’histoire d’un jeune homme faible, soumis et timide, nommé Fabrice, qui découvre un jour qu’il est un sorcier.
Sa vie va littéralement changer lorsque Damian Malkave, un grand sorcier du monde magique, l’emmène à Salendar, la capitale du monde des sorciers, où il va rencontrer des tas de gens, dont Slayne Faller et Rose Salendar, ses futurs meilleurs amis avec qui il va vivre d’incroyables aventures. Mais il va aussi s’opposer à une confrérie de sorciers maléfiques nommée l’Ombre, qui tente par tous les moyens de régner sur le monde.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Je ne sais pas s’il y a vraiment une raison derrière l’écriture de ce roman.
Ecrire est pour moi un passe-temps, voire une passion. Je ressens toujours le besoin d’écrire. Peut-être fallait-il que je m’évade de ce monde en en créant un nouveau, peut-être meilleur que celui dans lequel nous vivons ?

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Mon roman s’adresse en premier lieu aux pré-adolescents et aux adolescents, voire même aux jeunes adultes. Mais tout le monde peut le lire. Il suffit d’être intéressé par le domaine de la magie.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Je pense que le message principal que j’ai voulu transmettre à travers mon livre, c’est qu’il est important d’avoir des rêves dans la vie. Tout peut devenir possible quand on y croit.
Mais il y a beaucoup d’autres messages dans ce livre, comme, par exemple, ne jamais perdre espoir, ou encore l’importance de l’amitié et de l’entraide.

Où puisez-vous votre inspiration ?
J’avoue que pour certains des romans que j’écris, il m’arrive parfois de demander à mon entourage de m’aider quand je suis en panne d’inspiration.
Mais, pour celui-ci, j’ai utilisé une technique qui m’est propre.
En fait, j’attends d’être seul chez moi ou d’être dans le jardin de ma grand-mère, et je me mets dans la peau de Fabrice. Je m’immerge totalement dans son monde et je vis son histoire. Ensuite, l’inspiration vient toute seule.
Je m’inspire également de livres que j’ai lus, comme par exemple, Tara Duncan de Sophie Audouin-Mamikonian ou encore Percy Jackson de Rick Riordan.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je pense que je vais me consacrer à la suite de la série « Salendar » et j’essaierai, ensuite de faire publier mes autres séries de roman. Toujours autour du thème de la fantaisie, évidemment.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Rêvez, quoi qu’il puisse arriver. Continuez de rêver et allez au bout de vos rêves. »