Rencontre avec André Caer, auteur de «Les Bernaches sont de retour»

Présentez-nous votre ouvrage

Ce livre est la suite de mon premier Roman, « En attendant le retour des oies Bernaches ». On y retrouve le héros Loïc Leboëdec qui collabore avec le juge d’instruction qui l’a placé précédemment sous statut de témoin assisté dans plusieurs affaires suite à une machination visant à l’impliquer pour orienter le juge sur de fausses pistes. Affaires d’espionnage industriel, de corruption, de rétro-commissions, collaboration aussi étrange qu’improbable entre un juge d’instruction et un de ses suspect jusqu’au dénouement de l’intrigue constituent la trame de l’intrigue.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Plusieurs lecteurs du premier roman m’ont demandé une suite en me faisant remarquer qu’il serait intéressant de savoir comment le héros pouvait se sortir de l’imbroglio judiciaire dans lequel il était empêtré. Après l’écriture de trois ouvrages d’un tout autre style j’ai décidé de revenir à l’intrigue de mon premier bouquin et d’écouter le conseil de ces lecteurs.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Aux amateurs d’intrigues curieux tout à la fois d’irrationnel par les quelques références à la radiesthésie et de réflexion cartésienne.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Je n’ai pas cherché à transmettre un message particulier, j’ai tout simplement continué une histoire commencée par hasard un jour de pluie en Octobre 2014 où je m’étais dit : Et si je me décidais à écrire, si je me lançais dans l’aventure… Le problème est qu’une fois parti dans ce genre d’histoire il est possible de ne jamais de conclure. D’ailleurs pour illustrer le dilemme J’ai en introduction de ce dernier livre choisi une citation de Samuel Beckett : « La fin est dans le commencement et cependant on continue ».

Où puisez-vous votre inspiration ?

Pour ce genre de roman il suffisait de poursuivre l’intrigue du premier ouvrage.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je ne sais pas trop. La journaliste du télégramme qui a lu ces deux romans avant d’écrire un gentil papier sur ce dernier bouquin m’a déjà dit : « pourquoi ne pas en faire une trilogie de votre histoire ? ». Comme j’étais dubitatif elle m’a donné une idée. Dites nous au passage ce qu’en pense « la méchante de l’intrigue ». Je lui ai répondu : « me mettre dans la peau d’une garce je ne le sens pas trop ». « Pas de souci, je vous fais confiance, vous saurez faire » m’a-t-elle répondu avec un large sourire goguenard.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Je suis toujours preneur d’avis, je suis un homme d’écoute. N’hésitez pas à me faire parvenir vos commentaires. Merci d’avance.