Interview écrite

Rencontre avec Alban Jollivet, auteur de « Plus fort que la mort »
25 juin 2018
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec Alban Jollivet, auteur de « Plus fort que la mort »

Présentez-nous votre ouvrage

« Plus fort que la mort » se présente sous la forme d’un court roman. Bâtie sur fond historique, mon histoire se déroule au XVème siècle, en pleine période d’inquisition. Toutefois, l’aspect historique de mon œuvre est plus largement détaillé dans la préface. Sylvie, personnage central du roman, reçoit un mystérieux « Don », qui lui permet de soigner brûlures et maux en tous genres. Hélas, en cette fin de Moyen Âge, les « dons », comme nous les appelons aujourd’hui, n’étaient pas porteur de chance pour ceux à qui ils appartenaient. En effet, les flammes des bûchers dévoraient quotidiennement ces personnes énigmatiques, prétendant posséder un quelconque « pouvoir » surnaturel. Malgré le danger que représentait cette sombre période, notre personnage décide d’exercer au péril de sa vie, pour le bien d’autrui, ce « Don » qui lui a été confié.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’ai écrit ce livre par passion, tout d’abord. Ce roman a une signification particulière pour moi, il me tenait à cœur de rendre un certain « hommage » aux barreurs de feu, qui viennent gracieusement en aide à ceux qui en ont besoin.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Je crois que mon ouvrage n’est pas particulièrement réservé à une catégorie de lecteurs. Il s’adresse à tous ceux qui sont curieux de découvrir un roman non conventionnel.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

J’évoque, à travers mes personnages, le Bien et le Mal. Je pense que les deux ne sont qu’une question de point de vue. Selon moi, une action n’est ni bonne ni mauvaise, elle est neutre ; tout dépend du point de vue avec lequel on l’observe. Je crois qu’il y a un peu de cela dans le roman. Sylvie est convaincue que son « Don » est « Divin » et qu’il agit pour le « Bien », alors que ses détracteurs sont persuadés du contraire. C’est au lecteur de se forger sa propre opinion.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je puise mon inspiration dans la vie quotidienne, dans mes lectures. Mon merveilleux département Ardéchois est pour moi une source inépuisable d’inspiration. Pour ce roman, ce sont plutôt mes voyages qui m’ont inspiré, et plus particulièrement la visite de l’Hôtel-Dieu de Beaune ainsi que celle de la Cathédrale Sainte-Croix d’Orléans.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Il me reste à vous souhaiter une agréable lecture, et à remercier tous ceux qui m’accompagnent dans cette formidable aventure littéraire !