Rencontre avec Aboubacar Diarra, auteur de « Dinika, bienvenue à Milan »

Présentez-nous votre ouvrage.

Alors déjà, je tenais à dire que Dinika est un personnage fictif de mon enfance, ce personnage à qui je racontai ses aventures, ses anecdotes, sa tenue vestimentaire, un jean et veste en jean rouge et qui font de lui un personnage des années 70-80. Je les contai à mon frère et à mes sœurs. Dinika un retraité militaire qui participa à la guerre du Vietnam. Après la guerre, on proposa à Dinika Issiaka et Kalou de travailler pour le gouvernement Américain, cependant, ils refusèrent gentiment la proposition. Dinika avec ses deux amies d’armée montèrent leur boîte d’import-export dans différent pays dans le monde. Dinika se rendit en Italie pour une présentation de produit à un potentiel client. Quelques jours plus tard, Dinika contacta ses amies Issiaka et Kalou disant qu’il a accepté un contrat avec une association, leur demanda de venir le rejoindre. Issiaka et Kalou s’étaient rendus en Suisse inquiet que Dinika s’était rendu sans le moindre produit. Mais quel genre de contrat Dinika a-t-il passé pour demander à ses amies de le rejoindre rapidement.

 

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

Pour un défi, je me suis lancé un défi, sans être arrogant, je me suis dit, j’ai écrit des textes à thème, je peux très bien écrire un livre. J’ai écrit ce livre comme si, il allait être réalisé pour un film. Quand j’écrivais, je visualisais chaque scène ainsi que les lieux.

 

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

Mon roman s’adresse à partir de 10 ans.

 

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Mon roman n’a pas vraiment de message en particulier, en le lisant chaque personne pourrait penser que j’ai voulu dire une chose ou une autre, chacun son interprétation dans sa lecture.

 

Où puisez-vous votre inspiration ?

Mon inspiration vient dans tout ce que je vois, ce que je lis, ce que je vis.

 

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je suis en train d’écrire un roman qui s’intitulera les pires crimes des hommes et des femmes, et aussi une aventure de Dinika, je ne sais pas, lequel des deux sortira en premier, si dieu le veut.

 

Un dernier mot pour les lecteurs ?

C’est la manière dont je raconte l’histoire, qui fait sa particularité pour que l’éditeur EDILIVRE ait accepté de me publier, en vous souhaitant une bonne lecture à tous.