Interview écrite

Rencontre avec André Diamana Luyindula, auteur de « Sous le ciel »
22 janvier 2018
Posté par
Éditions Edilivre

Rencontre avec André Diamana Luyindula, auteur de « Sous le ciel »

Présentez-nous votre ouvrage

Mon ouvrage est un recueil de poèmes intitulé « Sous le ciel ». Volume de 56 pages, au format 134 x 204, paru chez Edilivre en octobre 2017, il comporte deux grandes parties. Il s’agit, dans la première, de poèmes et, dans la deuxième, de chants écrits en lingala, langue de mon pays, et traduits en français.
Parmi ces poèmes, il y a d’abord trois acrostiches respectivement sur le Professeur Docteur et écrivain-poète Lwemba, sur la Francophonie, et sur le peuple palestinien, cela suivi d’autres poèmes.
Dans la seconde partie, nous avons des chants. Ils méritent leur place dans l’ouvrage d’autant plus qu’ils sont aussi de la poésie.
Généralement, du début à la fin, l’ouvrage écrit dans un style simple, voudrait montrer une vision du monde meilleure en élevant le bien et en condamnant le mal.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’ai écrit ce livre, justement, pour, à la fois, me livrer à ma passion et saisir l’occasion de contribuer de cette façon à la tentative de convertir les hommes aux bons sentiments.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

L’ouvrage voudrait être accessible à tous.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Le message que j’ai bien voulu transmettre à travers ce livre est celui de la prise en considération de l’être humain et de la condamnation de l’exploitation de l’homme par l’homme sous toutes ses formes.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Je puise mon inspiration dans la vie quotidienne, dans la nature qui est une œuvre merveilleuse. Une image, un texte, une chanson, une parole, une œuvre d’art, une scène, une situation heureuse ou malheureuse, tout cela peut m’inspirer.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Dans le cadre de mes projets d’écriture pour l’avenir, le désir est de continuer à écrire en prose et en vers, en cherchant l’amélioration.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Aux lecteurs, je dirais que je pense toujours à eux en travaillant, car ce sont eux les consommateurs. L’écrivain, issu du peuple, cherche à donner à ce dernier, à lui restituer sa dignité. Dans ce peuple, se trouvent les lecteurs. D’où leur importance.