Protensions des chairs onirismes

Cet ouvrage est le fruit d'une longue introspection, un long, rare et riche cheminement intellectuel, d'offrandes en chair bicéphale, des entendements temporels, des émanations de doigts, où s'inscrivent, les corps éclatés en linguistique minéralogie, des transparences de lunes accidentelles, d'où des perfusions de sang, en maïeutiques syncopes, des enfantements invisibilités. Les thématiques de cet ouvrage sont une polyglotte extensivité, élasticité des rivières acoustiques, où pleurent les baleines chiffres, des substantielles organiques, des chaotiques symbiotiques réfléchissements, aux abeilles des pneumatiques complexions, des ordinateurs linguistiques, en déhiscences, des libations violoncelles, où pleuvent les essences tziganes, des syntaxiques équilatérales, aux devenirs des yeux sémantiques, ô pachydermies des vacuités, où des onirismes sida, des pieds en lessives, des chaleurs ecclésiastes, ô langueurs des ongles, d'où s'étirent les strings, sourires imaginaires, des pénétrantes inclusions, des horloges complétudes, aux blés tachetés de miroirs, évanescences, aux grossesses des représentations, des rires clystères, des jalousies artérielles, ô savons où s'accomplissent, les vins, les alcools préservatifs, les degrés mimétiques, ou des aliénations de flûtes combinaisons, par des réplétions, des citrons langues, bavant des oiseaux, d'ossements artistiques, ô mansuétudes, des péchés végétatifs, ô larmes des cheveux, en chrysalides, des polarités, flagellations, ô cheveux des neurologies, ou se travestissent les transactionnelles, cubiques, des animistes hiérarchies, en des nuées, de feux informatiques, les cribles à foison, des pâmoisons heuristiques, aux lèpres musiciennes, les fœtus algorithmes, les dédoublements circonflexes, les cicatrices pendues, sous des fruits gorgés, de lumières propédeutiques, ô auroraux baisers, des cieux sociologiques, des soleils oenologies, des vapeurs, en cailloux hygiénistes, aux comportementales olfactives, des langues géométriques, aux libellules sentiments, ô bleuités, des incandescences coquillages...