Livre

Pierre tombale ou Aïda la rose qui se meurt

Pierre tombale ou Aïda la rose qui se meurt

Par Antônia Laura Carolina Barbosa Fortés

Thème : Sentimental

Date de publication : 02/10/2009

Que faudra-t-il à Aïda pour oublier son premier bonheur puis pour le retrouver ? Grande, belle, gaie de nature, pieuse, Aïda, femme Peulh, généreuse et Maman de jumelles et de deux garçons, se perd dans les souvenirs de son premier mariage, qui prend fin à la disparition de son mari Yéro, mort tragiquement dans un accident de la route. Obeyede, père de 5 enfants, brise son foyer et rentre dans sa vie en seconde noce. Il lui volera sa gaieté et brisera ses espoirs. Désespérée, perturbée et dégoûtée, elle abandonnera son foyer, pour préserver ses enfants Ismaël et Abdoul, des crocs et de la méchanceté cachés de Obeyede, ainsi que des caprices, moqueries de ses enfants face aux siens. Commence alors sa longue descente aux enfers. La solitude, fidèle compagnon, s'installe au cœur de sa vie. Mais la longue absence de son fils Ismaël, parti en Europe pour ses études, l'étouffe chaque seconde et le profond silence de Latyr en Italie, la conduit au bord de l'abîme. Les appels de Alioune, des USA, mettent à chaque fois, une note de musique à sa triste vie. L'espoir de le revoir pétille en elle. Mais l'attente est longue et doucement la maladie s'installe en elle. Le destin ingrat, sera clément et lui donnera la chance de revoir Ismaël, avant de fermer les yeux.
  • Grand Format (170x240)
  • 330 pages
  • ISBN : 9782356073891
26,00 €
12,99 €
Papier
Numérique

Antônia Laura Carolina Barbosa Fortés

Biographie

Antônia Laura Carolina Barbosa Fortés

Née sur la presqu'île de Saint-Louis du Sénégal, un 21 novembre, Antoinette de son nom de Baptême, sera baptisée le huitième jour de sa naissance, et portera à la mairie, le nom de Antônia, nom de sa grand-mère maternelle. Elle grandit dans une famille unie, originaire des Iles du Cabo Verde (colonie Portuguaise) entourée de toute la grande famille de ses grands-parents. Son père est de l'Ile de Mindelo, à Sao Vicente, née à l'Ile de Saint Antoine. Sa mère est née sur l'Ile de Fogo, à Sao Sédar Philippe. Ses parents se rencontreront en Afrique sur la presqu'île de Saint-Louis. Troisième enfant d'une famille de Onze enfants, dont deux frères et huit soeurs, Antônia quittera en 1964, la presqu'île qui la vue grandir, pour partir avec ses parents, qui décident d'immigrer en Mauritanie, dont la Capitale est Nouakchott, 4 ans après l'Indépendance de ce pays Islamique. Dépaysée, puisque le pays est un pays au départ d'une vie qui doit avancer, elle reste loin de ses grands parents maternels, qui étaient tout pour elle. Elle se jette dans son silence, et se met à leur écrire des cartes postales, des poésies et des longues lettres qu'elle leur envoie. Elle tient un journal qui lui donne la force de supporter leur éloignement. Elle grandit en Mauritanie, y fait des études jusqu'au Bac, et suit des cours à Dakar, puis à Paris, tout en aimant l'écriture, la poésie, le théâtre et la lecture... Très jeune elle chante et monte sur scène dés ses seize ans. Ayant un père chanteur et guitariste, qui chante le soir à la chaumière de Saint-Louis, elle adore la musique et chante à la chorale de la cathédrale de cette presqu’île. La musique reste un point focal dans sa vie.Dans son parcours, en 1979, elle épouse un jeune Avocat Mauritanien, dont elle a eu des jumelles. Son jeune mari, meurt en 1993, suite à un cancer de poumons. Elle continue à travailler au Système des Nations Unies, le PNUD, de Nouakchott, et puis, elle accepte de quitter après 15 ans de travail, pour compression, et accepte de travailler dans une Banque de la capitale. Elle se retrouve avec une enfant, qu'elle élève , lorsque disparaît son mari, cette dernière n'avait que 10 ans. Elle s'accroche à la vie, et à l'amour de l'écriture et de la lecture, qui la dépasse, l'étonne et l'emporte dans des rêves d'écrire un livre, depuis ses 14 ans. Son premier manuscrit, jamais publié: "J'ai tant espéré, ou, Youssoufa reviendra-t-il?lui donne la force de l'écriture. Elle lit, écrit sans cesse, écrit des poésies, des histoires d'enfants, et ne lâche pas prise, jusqu'au jour, où elle rencontre Edilivre, qui l'accepte, la découvre, et la met dans la famille de l'écriture. Elle ressent alors un immense bonheur, et atteint son rêve, grâce à Edilivre. Antônia continue à écrire, après ses trois romans édités par Edilivre. Elle a terminé depuis 2010, un quatrième qui a été accepté par Edilivre, mais pas encore publié. Le titre: "Carrefour-Madrid, Route de l'Espoir". En 2011, elle termine un cinquième manuscrit, du titre de: "Oryundinha, ma fille, où sont passées, mes années", où "L'exil d'Adélaïde Estrela-Molinalé". En dehors de tout cela, elle continue à travailler sur six autres manuscrits, terminés, pour les présenter à son éditeur... Elle vit toujours en Mauritanie, à Nouakchott la capitale et reste encore une femme célibataire, tout en continuant à aimer la vie, l'écriture, le livre et Edilivre. Antônia travaille dans une banque de la place et rêve un jour de rendre visite à Edilivre.

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Avis des lecteurs

BEL OUVRAGE - 16/07/2014

Histoire d'une vie que l'on peut aussi imaginer ou retrouver dans d'autres pays, d'autres continents ou souffrances, espoir et désespoir se chevauchent... Un auteur à recommander !

Commentaire de joe deus - 14/06/2011

je trouve ce roman poignant et émouvant . de plus, c'est une tres belle histoire a lire en été